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Le diabète est une pathologie dont les complications concernent l'ensemble des organes. De plus en plus de patients diabétiques sont hospitalisés dans les divers services hospitaliers. Pour assurer une meilleure qualité de prise en charge, plus rapide et plus efficace, et favoriser la formation des professionnels en diabétologie, les ervice d'endocrinologie du CHU de Bicêtre (AP-HP, 94) a décidé de créer une équipe mobile de diabétologie, suite à une étude menée en 2008.

Les personnes détenues doivent bénéficier de la même prise en charge sanitaire que la population générale. Dans cette perspective, les professionnels de santé infirmiers de l'Unité de consultations et de soins ambulatoires (UCSA) de la maison d'arrêt de la Santé à Paris (75) participent au développement d'actions de promotion de la santé. Les méthodes d'intervention actives sont privilégiées afin de favoriser l'impllication des détenus dans la protection de leur santé.

Pour accompagner les enfants et leur famille dans le sevrage d’une nutrition artificielle, une psychomotricienne et une orthophoniste du Centre de référence maladie rare “Syndrome de Pierre Robin et troubles de la succion-déglutition congénitaux” de l’hôpital Necker-enfants malades à Paris (AP-HP, 75) ont mis en place une consultation en binôme, en complément des consultations médicales.

Cet accompagnement montre une réelle complémentarité entre l’orthophonie et la psychomotricité, afin d’aider l’enfant et ses parents lors de cette période délicate.
RE

Les cathéters veineux périphériques sont les dispositifs vasculaires les plus utilisés en milieu hospitalier. La population vieillissante, l’augmentation des comorbidités complexifierait leurs insertions. Une enquête réalisée dans des unités de chirurgie précise des facteurs contributifs d’échecs. Il semblerait pertinent d’améliorer l’identification des patients d’accès veineux difficile, de faciliter le recours à divers techniques et dispositifs, ainsi que l’expertise d’une équipe spécialisée. (RE)

En jeu majeur de santé publique, la BPCO constitue l'une des causes principales de morbidité et de mortalité dans le monde. Si des médicaments, en réduisant sa sévérité, contribuent à améliorer la qualité de vie des patients, la démarche la plus efficace reste la suppression du tabagisme. Les traitements médicamenteux -prescription de bronchodilatateurs, de corticoïdes, et oxygénothérapie- peuvent être complétés par la réhabilitation respiratoire dès le stade modéré de la maladie, en particulier dans le cadre de l'éducation thérapeutique. La prise en charge débute par un diagnostic éducatif personnalisé, qui permet aux patients de prendre enmain la gestion de leur maladie. Le rôle des équipes soignantes, où l'infirmière apporte conseil et soutien, est, ensuite, de les accompagner, généralement lors d'ateliers collectifs. Grâce aux échanges d'expérience, la stratégie thérapeutique de chacun sera optimisée.