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Documents  Klein, Alexandre | enregistrements trouvés : 2

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- n° 134 - pp. 78-93

Personnage oublié de l’histoire des soins de santé comme de celle du Québec, Charlotte Tassé (1893-1974) fut pourtant une figure de proue de la professionnalisation des infirmières québécoises. Cette garde-malade canadienne-française a en effet créé et administré deux écoles d’infirmières, lancé et dirigé pendant trente-cinq ans une revue professionnelle de référence, participé activement à l’émergence du nursing psychiatrique dans sa province, possédé et administré l’un des principaux centres de soins de santé mentale du pays et même créé de toutes pièces une classe d’infirmières à part entière : les gardes-malades auxiliaires. Elle a surtout établi et défendu, avec ténacité et persévérance, à travers toutes ces réalisations, un modèle infirmier unique, propre au Québec : celui de la garde-malade canadienne-française. Entre valeurs traditionnelles du soin et de la féminité et représentations avant-gardistes du rôle des infirmières, qu’elle dédiait à la gestion des hôpitaux, elle a contribué avec ce modèle à faire de l’histoire québécoise des infirmières une histoire unique et originale. C’est sur la création de ce modèle infirmier inédit et sur la promotion active dont il a fait l’objet pendant près d’un demi-siècle que cet article?[1] revient en retraçant, à partir d’archives inédites, le parcours hors-norme de Charlotte Tassé.[R.E.]
Personnage oublié de l’histoire des soins de santé comme de celle du Québec, Charlotte Tassé (1893-1974) fut pourtant une figure de proue de la professionnalisation des infirmières québécoises. Cette garde-malade canadienne-française a en effet créé et administré deux écoles d’infirmières, lancé et dirigé pendant trente-cinq ans une revue professionnelle de référence, participé activement à l’émergence du nursing psychiatrique dans sa province, ...

Canada ; Psychiatrie ; Soins infirmiers ; Historique ; Québec

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- n° 135 - pp.91-106

Célèbre pour avoir créé, avec le psychologue Alfred Binet (1857-1911), la fameuse Échelle métrique de l’intelligence, le psychiatre Théodore Simon (1873-1961) fut aussi, on le sait moins, un acteur central de la professionnalisation des infirmiers et infirmières d’asile en France. Depuis le manuel engagé qu’il publia en 1911 jusqu’à la revue, très explicitement intitulée « L’Infirmier Psychiatrique », qu’il créa en 1953, en passant par l’école spécialisée qu’il fonda puis dirigea de 1946 à 1957 à l’hôpital Maison Blanche de Neuilly-sur-Marne, Simon a œuvré durant toute sa carrière pour la reconnaissance et la formation de ceux qu’il voyait comme de véritables collaborateurs. C’est ce que nous montrerons dans cet article?[1] qui se propose, en revenant sur le parcours oublié de ce médecin d’asile militant, de mettre en lumière son engagement en faveur de la professionnalisation du personnel infirmier en psychiatrie. [R.E.]
Célèbre pour avoir créé, avec le psychologue Alfred Binet (1857-1911), la fameuse Échelle métrique de l’intelligence, le psychiatre Théodore Simon (1873-1961) fut aussi, on le sait moins, un acteur central de la professionnalisation des infirmiers et infirmières d’asile en France. Depuis le manuel engagé qu’il publia en 1911 jusqu’à la revue, très explicitement intitulée « L’Infirmier Psychiatrique », qu’il créa en 1953, en passant par l’école ...

Psychiatrie ; France ; Histoire ; Infirmier

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