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Documents  GHEBRIOU Djamel | enregistrements trouvés : 3

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- n° 147 - pp. 16-19

La prise en charge du cancer évolue rapidement. Les changements de pratiques ne sont pas tous transposables à la population âgée, qui est hétérogène. La description de la toxicité intrinsèque des traitements anticancéreux est insuffisante chez le sujet âgé. Les études récentes dédiées à celui-ci intègrent des critères d’évaluation composites combinant l’efficacité et la toxicité, avec une définition élargie incluant entre autres la perte d’autonomie fonctionnelle. Ces nouvelles données acquises, ainsi que de nouvelles organisations intégrant le nouveau métier d’infirmier en pratique avancée en oncogériatrie permettront à l’avenir de mieux répondre au défi de la prise en charge des patients âgés. (G.E.)

Plan :
- Recherche clinique
- Traitements systémiques
- Cancers du sein
- Cancers urologiques
- Mélanome
- Cancers bronchiques
- Cancers ORL
- Cancer gastrique
- Cancer du pancréas
- Cancer colorectal
- Outil d’aide à la décision
- Infirmier en pratique avancée en oncogériatrie
- Conclusion
La prise en charge du cancer évolue rapidement. Les changements de pratiques ne sont pas tous transposables à la population âgée, qui est hétérogène. La description de la toxicité intrinsèque des traitements anticancéreux est insuffisante chez le sujet âgé. Les études récentes dédiées à celui-ci intègrent des critères d’évaluation composites combinant l’efficacité et la toxicité, avec une définition élargie incluant entre autres la perte ...

Cancer ; ONCOGERIATRIE ; Personne âgée ; INFIRMIERE DE PRATIQUE AVANCEE

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- n° 154 - pp. 9-28

Avant-propos : Une concertation nécessaire à la prise en charge.

Depuis une vingtaine d’années, l’oncogériatrie permet la collaboration entre l’oncologie et la gériatrie afin d’optimiser la qualité des soins proposés aux patients âgés de 75 ans et plus
souffrant d’un cancer.
Dans le but de lutter contre la perte de chance oncologique due au seul fait de l’âge du patient, et de limiter les risques d’appliquer un traitement sans avoir identifi é au préalable ses
facteurs de fragilité, la prise en charge oncogériatrique doit permettre d’établir un diagnostic complet et de connaître la place du cancer dans l’histoire médicale du malade.
Ainsi, les réponses à trois questions essentielles vont guider les choix thérapeutiques : le patient va-t-il mourir de son cancer ou
de ses comorbidités ? Est-il capable de supporter un traitement actif ? Le traitement spécifi que lui sera-t-il plus bénéfi que
que délétère ? [extrait]
Avant-propos : Une concertation nécessaire à la prise en charge.

Depuis une vingtaine d’années, l’oncogériatrie permet la collaboration entre l’oncologie et la gériatrie afin d’optimiser la qualité des soins proposés aux patients âgés de 75 ans et plus
souffrant d’un cancer.
Dans le but de lutter contre la perte de chance oncologique due au seul fait de l’âge du patient, et de limiter les risques d’appliquer un traitement sans avoir identifi é ...

Personne âgée

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- n° 157 - pp. 9-30

Avant-propos du dossier : Le plus fréquent des cancers

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. Il représente 16 % des décès par cancer en Europe en population générale. En France, son dépistage, qui repose sur la réalisation
d’une mammographie tous les deux ans complétée, si nécessaire, par une échographie, est organisé jusqu’à l’âge de 74 ans. Passé cet âge, il relève d’une démarche individuelle. [extrait]

cancer du sein ; Personne âgée ; Femme

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