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- n° 1 - 46-49
Une patiente qui a bénéficié d’une dermolipectomie abdominale doit subir à sept jours une réintervention du fait d’une surinfection dont elle garde des séquelles. Les recours qu’elle engage sont tous rejetés : le préjudice est trop faible pour engager le recours contre l’ONIAM, l’information a été insuffisante, mais une information complète n’aurait rien changé, et sur le plan technique, l’intervention chirurgicale ne met en évidence aucune faute. (re)
Une patiente qui a bénéficié d’une dermolipectomie abdominale doit subir à sept jours une réintervention du fait d’une surinfection dont elle garde des séquelles. Les recours qu’elle engage sont tous rejetés : le préjudice est trop faible pour engager le recours contre l’ONIAM, l’information a été insuffisante, mais une information complète n’aurait rien changé, et sur le plan technique, l’intervention chirurgicale ne met en évidence aucune ...
cas pratique ; Droit
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