Mais de quel déni parle-t-on ?
octobre 2011
pp. 57-61
La loi du 5 juillet 2011 bouscule le rythme des prises en charge. Comment rechercher une alliance thérapeutique dans la temporalité de cette réforme des soins psychiatriques alors même que le déni de la maladie paraît s'y opposer ? Le temps du législateur nie le temps du psychisme, particulièrement pour les malades hospitalisés en Unité pour malades difficiles (UMD). En ignorant ses spécificités, les institutions seraient-elles gagnées par le déni ?
Niveau d'autorisation : Public
Numéro de revue : 161