Même si l’accompagnement aux écrans n’empêche pas tous les traumatismes d’images, notamment ceux susceptibles de perturber les enfants les plus jeunes, il permet de les anticiper et d’en réduire l’impact z C’est pourquoi la protection des mineurs contre les dangers des images passe par trois séries de mesures : une réforme de l’audiovisuel public, entre autres de la composition et du rôle des commissions de classification ; une information plus complète à destination des parents ; la formation des enseignants, des psychologues scolaires, des animateurs socioculturels et des éducateurs z Dans le cadre de leur formation initiale et continue, tous doivent être alertés sur la question des images et de leur réception par les enfants. (re)

Niveau d'autorisation : Public

Adresse de consultation : https://www.em-premium.com/article/1428407

Numéro de revue : 318