La personne de confiance, sujet importun du droit médical ?
01/05/2007
pp. 55-57.
rev15
Incarnation du respect du consentement du patient depuis la loi du 4 mars 2002, la personne de confiance doit être majeure et capable. Il peut s’agir d’un parent, d’un proche ou du médecin traitant. La réelle innovation de cette disposition de la loi de 2002 réside dans l’implication omniprésente de la personne de confiance lors du processus de soins.
Niveau d'autorisation : Public
Numéro de revue : 62