La prise en charge palliative des personnes démentes en fin de vie pose des questions cliniques et éthiques particulières. Elle doit se développer aujourd'hui pour permettre à ces malades de mourir dans des conditions confortables, loin de tout acte d'acharnement thérapeutique inutile ou d'euthanasie, et à leur famille de surmonter la fin de vie de leur proche, puis leur deuil, de façon apaisée.
Niveau d'autorisation : Public
Numéro de revue : 157