Plus de 600 000 femmes ayant subi une excision ou une infibulation vivent en Suisse. Atteintes dans leur intégrité sexuelle, elles souffrent de sérieux problèmes urinaires, infectieux, gynécologiques et psychologiques. En étant au clair sur la question, les infirmières sont mieux à même de répondre à leurs besoins et de diffuser un message préventif.

Niveau d'autorisation : Public

Numéro de revue : 9/2007