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Au sein d’un établissement d’hébergement de personnes âgées dépendantes (Ehpad), Brigitte Lurton partage son poste entre une activité de coordinatrice et les soins, deux jours par semaine.

« Avant, je faisais 100 % de soins et 100 % de coordination », plaisante Brigitte Lurton, quand elle repense à ses débuts d’infirmière en Ehpad. « J’avais 33 ans, 3 enfants en bas âge. J’avais besoin de me poser, d’autant plus que j’avais occupé de nombreux postes avant de prendre celui-ci. » En effet, diplômée de 85, Brigitte est passée par l’hématologie, la chirurgie vasculaire et orthopédique. Elle a aussi exercé comme infirmière libérale pendant trois ans. De ce parcours, elle retire deux choses essentielles : « La technique ça s’apprend ; la relation à l’autre, ce n’est jamais acquis. »

L'impact de la consommation excessive d'alcool est élevé en termes de mortalité, de morbidité et de dommages sociaux. La France reste un des pays où l'on consomme le plus d'alcool. Cinq millions de personnes en abusent, 2 millions sont acloolodépendants et 23000 décès seraient liés chaque année à une consommaztion excessive d'alcool.
La dépendance à l'alcool est une maladie chronique que l'on sait aujourd'hui soigner. La prise en charge est bio-psycho-sociale et s'envisage dans le champ de l'addictologie, en équipe pluridisciplinaire. L'infirmière est fortement engagée dans l'accompagnement thérapeutique des patients et les divers soins dispensés lors des cures, post-cures et prises en charges ambulatoires.