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Documents  CLINIQUE (LA) | enregistrements trouvés : 2

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- pp.21-24

Après la crise aiguë vient l’ennui. Les patients s’impatientent, tournent en rond, veulent se changer les idées, se distraire. L’occupationnel vient alors au secours de ces temps morts et propose des solutions de rencontre. Les soignants se mobilisent pour “ennuyer” le patient. Dans cette quête de rencontre, ils doivent prendre le risque de renoncer à l’occupationnel pour le pari du thérapeutique.(RE)

Besoin ; CLINIQUE (LA) ; Infirmier ; ACTIVITE OCCUPATIONNELLE

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- n° 348 - 10-14

Évoquer la clinique des symptômes délirants, c’est affirmer avant tout que le délire existe. Les professionnels exerçant en psychiatrie savent que les délires s’écoutent, qu’ils donnent du sens à la souffrance et s’inscrivent dans l’histoire du sujet. Prendre le temps de réfléchir à ce type de symptôme permet d’investir le champ clinique propre à la psychiatrie et à sa spécificité, et n’a de sens que si la démarche clinique s’appuie sur un travail se référant à l’histoire individuelle du patient. Maintenir et développer ces attitudes de soins participe des conditions de survie de la psychiatrie en tant que discipline. Se pencher sur la clinique du délire n’est ni un luxe ni du temps perdu. (RE)
Évoquer la clinique des symptômes délirants, c’est affirmer avant tout que le délire existe. Les professionnels exerçant en psychiatrie savent que les délires s’écoutent, qu’ils donnent du sens à la souffrance et s’inscrivent dans l’histoire du sujet. Prendre le temps de réfléchir à ce type de symptôme permet d’investir le champ clinique propre à la psychiatrie et à sa spécificité, et n’a de sens que si la démarche clinique s’appuie sur un ...

Délire ; Psychiatrie ; Symptôme ; CLINIQUE (LA)

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