De la connaissance vivante des cadres de santé.
octobre 2011
pp. 23-24
L'homme préhistorique laissait des traces de son quotidien sur les murs des cavernes, l'homme d'aujourd'hui laisse partir des cadres de santé sans garder leur(s) histoire(s). Etrange paradoxe, lorsqu'on se souvient des mots du philosophe et écrivain malien, Amadou Hampâté Bâ, qui disait, en 1960 "quand un vieillard meurt, c'est uen bibliothèque sui brûle".
Niveau d'autorisation : Public
Numéro de revue : 199