« Oui, un psychanalyste, ça peut pleurer ! »
Pendant longtemps, le psychanalyste devait rester drapé dans un silence énigmatique, mais absolument stérile, et demeurer une surface de projection imperturbable. L’auteur revient sur les évolutions de sa pratique et observe, au fil d’histoires cliniques, différentes occurrences et propriétés cliniques du dévoilement de soi.
Niveau d'autorisation : Public
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Numéro de revue : 249