Le syndrome du bébé secoué n’est, aujourd’hui encore, pas forcément reconnu à lui seul comme une maltraitance z Il est toujours possible d’entendre, tant de la part de la population générale que de certains soignants, que n’importe qui est susceptible de secouer son bébé à cause d’un épuisement parental, par exemple z Le syndrome du bébé secoué est, pourtant, très souvent associé à d’autres formes de maltraitances physiques, et est considéré par la Haute Autorité de santé comme une maltraitance à part entière z Alma B., infirmière en service de pédiatrie, témoigne de son expérience face à des situations de syndrome du bébé secoué. (re)

Niveau d'autorisation : Public

Volume : 42

Numéro de revue : 320

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