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- n° Vol.16 n°1 - 25-29
Le doyen Carbonnier a écrit, dans son manuel de droit civil concernant les personnes, que la « condition de mortel (était) d’ordre public ». Cette formule fait écho, d’une part avec les désirs transhumanistes d’immortalité soit-disant rendus possibles, notamment par les progrès des biotechnologies et d’autre part, avec les prélèvements d’organes. Un retour sur cette curieuse assertion et sur ses possibles significations permettra peut-être d’éclairer d’un jour nouveau le régime juridique du corps humain et la bioéthique. RE
Le doyen Carbonnier a écrit, dans son manuel de droit civil concernant les personnes, que la « condition de mortel (était) d’ordre public ». Cette formule fait écho, d’une part avec les désirs transhumanistes d’immortalité soit-disant rendus possibles, notamment par les progrès des biotechnologies et d’autre part, avec les prélèvements d’organes. Un retour sur cette curieuse assertion et sur ses possibles significations permettra peut-être ...
Transhumanisme ; Ethique ; Prélèvement organe ; Bioéthique
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