Dyskinésies tardives et neuroleptiques chez une patiente de 87 ans
L’utilisation des neuroleptiques en gériatrie doit être limitée au strict minimum, en l’absence d’alternative thérapeutique, compte tenu de leurs effets délétères potentiellement graves chez des patients âgés fragiles. Les dyskinésies sont l’un de leurs effets secondaires les plus fréquents. Cas d’une patiente âgée chez qui les dyskinésies se sont révélées à l’arrêt brutal d’un neuroleptique pris au long cours, avec discussions d’hypothèses étiologiques de cette situation rare, qui mérite cependant d’être connue. [R.E.]
Niveau d'autorisation : Public
Adresse de consultation : https://www.em-premium.com/article/1337035
Numéro de revue : 140