Le texte aborde laquestion du travail thérapeutique avec des animaux enterrogeant sur les modes de communication qui s'établissent dans une ntre entre patients et animaux. A partir de l'analyse d'un cas cliniqupremière partie avance l'hypothèse qu'humains et animaux de therapie partagent une sensibilité mutuelle à leurs corps expressifs. te sensibilité leur permet de construire des structures kinésiques cones qui forment la trame d'une intersubjectivité susceptible nir soutenir un "moi" très fragile. La seconde partie interroge plus la question de l'altérité des animaux. Elle propose de considérer l'éca à soi que produit l'interaction avec un animal comme un éléimportant du changement thérapeutique. La notion d'espace potentiel, de Winnicott, est utilisée pour mener la discussion. Le texte se conclut une mise en perspective de la notion de médiation animale, envisagée ici comme un espace autorisant la multiplication et/ou un décalage des zones de contact et de compatibilité entre un patient et son thérapeute. (re)

Niveau d'autorisation : Public

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Numéro de revue : 255