Au fil de plusieurs histoires cliniques, l’auteur, pédopsychiatre, décline les différentes réactions et douleurs de l’enfant petit confronté à la perte d’un parent. Alors que l’enfant reste considéré comme « ne pouvant pas comprendre », il est souvent tenu à l’écart, alors qu’il faudait au contraire lui parler, mettre des mots et surtout l’écouter. Plaidoyer pour une psychanalyse de la mort et du deuil dès le plus jeune âge. (RE)

Niveau d'autorisation : Public

Numéro de revue : 235