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Documents  BENYAMINA Amine | enregistrements trouvés : 3

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- n° 223 - pp. 26-31

Si le diagnostic de troubles addictifs est relativement facile à poser, celui de trouble bipolaire est beaucoup plus délicat. Le délai moyen de diagnostic est actuellement d’environ 8 ans, et peut atteindre 10 à 15 ans en cas de comorbidité. L’enjeu du dépistage et de la prise en charge des patients comorbides est la prévention des complications irréversibles des troubles. L’auteur déplie la démarche diagnostique, qui, au fil d’entretiens et nourrie d’observations cliniques, doit s’intéresser notamment à l’histoire familiale du patient, à son propre parcours de vie (scolarité, relations aux autres, parcours
professionnel, judiciaire, médical…), à ses comportements addictifs et aux symptômes psychiatriques et psychologiques. RE
Si le diagnostic de troubles addictifs est relativement facile à poser, celui de trouble bipolaire est beaucoup plus délicat. Le délai moyen de diagnostic est actuellement d’environ 8 ans, et peut atteindre 10 à 15 ans en cas de comorbidité. L’enjeu du dépistage et de la prise en charge des patients comorbides est la prévention des complications irréversibles des troubles. L’auteur déplie la démarche diagnostique, qui, au fil d’entretiens et ...

Addiction ; Anamnèse ; Dépistage ; Prévention

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- n° 237 - pp. 24-29

Le débat actuel concernant la légalisation du cannabis nécessite de réaliser un état des lieux concernant son lien avec la schizophrénie. L’usage du cannabis augmente le risque par trois environ de transition vers un trouble psychotique. Cette probabilité est encore accrue par une grande fréquence d’utilisation, un dosage élevé en delta-9-tétrahydrocannabinol, et un jeune âge de début de consommation. Le cannabis participerait à la diathèse de la schizophrénie en se comportant comme un facteur de risque environnemental chez des personnes vulnérables. Sa consommation chez les patients souffrant d’une schizophrénie grève considérablement le pronostic fonctionnel et clinique, et cette prise en charge constitue un véritable challenge pour les soignants. Il est donc nécessaire de développer de nouvelles stratégies thérapeutiques. L’utilisation du cannabidiol commence ainsi à être étudiée dans cette population. (RE)
Le débat actuel concernant la légalisation du cannabis nécessite de réaliser un état des lieux concernant son lien avec la schizophrénie. L’usage du cannabis augmente le risque par trois environ de transition vers un trouble psychotique. Cette probabilité est encore accrue par une grande fréquence d’utilisation, un dosage élevé en delta-9-tétrahydrocannabinol, et un jeune âge de début de consommation. Le cannabis participerait à la diathèse de ...

Cannabis ; Prise charge ; Schizophrénie

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- n° 277 - 56-61

Les conduites addictives sont la règle, et non l'exception chez les personnes ayant des troubles du spectre bipolaire. Psychostimulants, cannabis, alcool, tabac... ces usages sont plus prévalents chez les personnes ayant des troubles bipolaires versus la population générale, majorant le pronostic. Ces troubles doivent ainsi être systématiquement dépistés chez les patients avec TB, dans une perspective de prise en charge adaptée. (RE)

Addiction ; Alcool ; Cannabis ; Dépistage ; Trouble bipolaire ; Prise charge ; Tabac

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