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Documents  MOUREY France | enregistrements trouvés : 2

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- n° 147 - pp. 34-36

La première description du syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM) par l’équipe de gériatrie de Dijon (Côte-d’Or) date d’il y a trente-quatre ans. Sa dénomination initiale était “syndrome de régression psychomotrice”. En raison des progrès réalisés dans la compréhension physiopathologique et sa prise en charge, le syndrome de régression psychomotrice fut renommé SDPM durant les années 1990. Puis, à partir des années 2000, le nom syndrome de dysfonctionnement sous-cortico-frontal (SDSCF) est devenu synonyme de SDPM. Le médecin, le kinésithérapeute, le psychologue et l’équipe soignante, tous formés à la gériatrie, sont les principaux acteurs de la prise en soins du SDPM ou SDSCF, qui doit être pluridisciplinaire. (R.E.)

Plan :
- Physiopathologie
- Expression clinique
. Troubles de la posture
. Anomalies de la marche
. Signes neurologiques
. Symptômes psychocomportementaux
- Principaux diagnostics
- Prise en soins
- Conclusion
La première description du syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM) par l’équipe de gériatrie de Dijon (Côte-d’Or) date d’il y a trente-quatre ans. Sa dénomination initiale était “syndrome de régression psychomotrice”. En raison des progrès réalisés dans la compréhension physiopathologique et sa prise en charge, le syndrome de régression psychomotrice fut renommé SDPM durant les années 1990. Puis, à partir des années 2000, le nom syndrome ...

Chute ; Bien être ; TROUBLE DE LA MARCHE ; Personne âgée ; DESADAPTATION PSYCHOMOTRICE ; REGRESSION PSYCHOMOTRICE

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- n° 157 - pp. 37-40

Durant des décennies, la littérature a été sceptique sur la faisabilité d’une rééducation motrice et sur son impact tout comme sur celui de l’activité physique (AP) chez les sujets atteints de trouble neurocognitif majeur (TNCM), dont la maladie d’Alzheimer.
Désormais, des auteurs rapportent plusieurs bénéfices de l’AP, physiques et cognitifs, en ce qu’elle favorise la perfusion cérébrale, la neurogenèse et la plasticité synaptique, et diminue le stress oxydatif et l’inflammation.
L’AP devrait être recommandée en cas de TNCM. (R.E.)
Durant des décennies, la littérature a été sceptique sur la faisabilité d’une rééducation motrice et sur son impact tout comme sur celui de l’activité physique (AP) chez les sujets atteints de trouble neurocognitif majeur (TNCM), dont la maladie d’Alzheimer.
Désormais, des auteurs rapportent plusieurs bénéfices de l’AP, physiques et cognitifs, en ce qu’elle favorise la perfusion cérébrale, la neurogenèse et la plasticité synaptique, et diminue ...

Activité physique ; Personne âgée ; TROUBLES NEUROCOGNITIFS ; Démence Alzheimer ; REEDUCATION MOTRICE

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