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- n° 285 - pp. 19-20
Comme après toute intervention chirurgicale, le patient opéré du rachis est transféré en salle de surveillance postinterventionnelle. Il y est pris en charge par une infirmière qui réalise une étroite surveillance clinique des paramètres vitaux. Une vigilance particulière est déployée pour repérer d'éventuelles complications liées à l'intervention dont certaines sont spécifiques lorsque l'indication opératoire est une scoliose. La prise en charge de la douleur postopératoire est également au cœur des soins.
Comme après toute intervention chirurgicale, le patient opéré du rachis est transféré en salle de surveillance postinterventionnelle. Il y est pris en charge par une infirmière qui réalise une étroite surveillance clinique des paramètres vitaux. Une vigilance particulière est déployée pour repérer d'éventuelles complications liées à l'intervention dont certaines sont spécifiques lorsque l'indication opératoire est une scoliose. La prise en ...
Rachis [pathologie] ; Chirurgie ; Phase postopératoire ; SSPI
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- n° 288 - pp. 53-54
A l'issue d'une intervention chirurgicale, notamment sous anesthésie générale, le patient séjourne en salle de surveillance postinterventionnelle. L'infirmière y exerce un rôle important dans la prévention et la détection des complications et leur prise en charge.
Bloc opératoire ; SSPI ; Salle réveil
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- n° 297 - pp. 16-18
Les traumatismes graves représentent environ 15 % de l'ensemble des traumatismes mais ils restent la cause principale de décès du sujet de moins de 45 ans. L'organisation des soins en réseau pour la traumatologie grave devient une nécessité en France. Grâce à une telle organisation, il est possible d'accélérer la prise en charge de ces patients, d'optimiser leur orientation vers le centre d'accueil le plus adapté. Le centre universitaire hospitalier (CHU) Bicêtre fait partie des six trauma center d'Ile-de-France qui travaillent tous sous le même cahier des charges mis en place par l'agence régionale de santé d'Ile-de-France.
Les traumatismes graves représentent environ 15 % de l'ensemble des traumatismes mais ils restent la cause principale de décès du sujet de moins de 45 ans. L'organisation des soins en réseau pour la traumatologie grave devient une nécessité en France. Grâce à une telle organisation, il est possible d'accélérer la prise en charge de ces patients, d'optimiser leur orientation vers le centre d'accueil le plus adapté. Le centre universitaire ...
Traumatologie ; Service urgence ; SSPI
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