Documents  Romano, Marie-Claude | enregistrements trouvés : 8

La Journée scientifique organisée par l’Association française de promotion de la santé scolaire et universitaire et le Service interuniversitaire de médecine préventive et de promotion de la santé s’est tenue le 16 janvier 2009. Elle a proposé aux professionnels concernés par la santé des jeunes une reflexion sur les élèves inattentifs, agités, agressifs et les étudiants en questionnement : autant de situations auxquelles ils doivent répondre. Les intervenants ont tenu à leur adresser ce message : ne craignez pas d’être interpellés !

Comment parlet de la sexualité avec les jeunes à l'heure d'Internet et des réseaux sociaux? Si la question de la pornographie, comme outil d'éducation à la sexualité, mérite d'être posée, celle de l'intimité et du rapport des adolescents à celle-ci l'est tou autant. Les jeunes sont en contact avec ces images de plus en plus tôt et ne se rendent pas compte que la pornographie caricature et désinforme.
L'enjeu est considérable pour permettre à l'enfant d'être respecté dans sa singularité et protégé par des adultes mieux informés.

Nouveau-né mort ou vivant, découvert dans une poubelle ou tout autre lieu aussi incongru, le déni de grossesse fait périodiquement irruption dans la rubrique des faits divers, avec une violence qui ébranle l'opinion publique. Au-delà de ces cas dramatiques, le déni de rossesse constitue un réel problème de santé publique encore insuffisamment pris en compte. En France, de 1500 à 3000 femmes sont pourtan concernées chaque année, et quelque 320 acouchent sans avoir connu antérieurement leur état de grossesse.
Ce dossier se propose de synthétiser les connaissances actuelles sur le déni de grossesse, puis de cibler, dans un deuxième temps, le déni de grossesse à l'adolescence. Cette approche sera complétée par des réflexions psychiatriques, pédagogiques et juridiques.

Les allergies, qu'elles soient respiratoires ou alimentaires, sont devenues un vrai problème de santé publique. Près d'une personne sur trois est concernée aujourd'hui par cett pathologie et les chiffres contineunt d'augmenter régulièrement.
Dans chaque classe, environ 9 enfants sont atteints de cette maladie chronique. Si l'allergie alimentaire est mieux prise en compte dans le cadre scolaire grâce au projet d'accueil individualisé, les rhinites, conjonctivites, rhume des foins, gêne respiratoire restent négligées alors qu'elles gênent terriblement les élèves dans leur scolairté et s'aggravent, faute de prise en charge, pouvant évoluer vers un asthme sévère ou une insuffisance respiratoire. Il est donc capital de se mobiliser pour assurer une meilleure information et formation de toutes les personnes encadrant des enfants.

Notre société tend à nous faire oublier que les épreuves et la souffrance font aussi partie de la vie. Les enfants ne sont pas préservés : maladie, handicap, deuil, maltraitance, ruptures peuvent venir fracasser leur jeune histoire. Ce dossier consacré à la façon dont les enfants blessés par la vie peuvent être soutenus par le milieu scolaire fait suite au colloque de l’Association française de promotion de la santé dans l’environnement scolaire et universitaire (Afpssu), qui s’est tenu le 29 janvier 2016 à Paris. Réalisée en partenariat avec l’Organisme commun des institutions de rente et de prévoyance (Ocirp) et portant une attention toute particulière au devenir des enfants orphelins, cette Journée scientifique a permis de mieux comprendre les différents facteurs de risque susceptibles de majorer leur souffrance et les facteurs protecteurs qui peuvent être mis en place, en milieu scolaire, afin de leur donner les ressources pour continuer de vivre.
R.E.

Pour l’enfant ou l’adolescent malade, la dégradation de son état, l’attente et les incertitudes diagnostiques, les transformations de son corps, les contraintes des traitements, et dans certains cas les hospitalisations sans fin, bouleversent son quotidien et peuvent mettre à mal sa scolarisation.

Depuis la loi n°2005-102 du 11 février 2005, une meilleure continuité scolaire est possible. Mais être malade et scolarisé continue d’être une aventure.

L’Association française de promotion de la santé dans l’environnement scolaire et universitaire (Afpssu) a donné le 20 janvier 2017 la parole aux acteurs de terrain, aux familles et aux jeunes, afin de mieux comprendre les enjeux de la maladie dans la vie d’un élève et les moyens qui lui permettront de poursuivre au mieux sa scolarité en recevant les soins nécessaires. RE