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Le problème mondial de la médecine au cours des dernières décennies a été la perte d’informations due au refus de la recherche post mortem pour des raisons religieuses. A la recherche d’une solution à ce problème pour la Fédération de Russie, nous avons étudié des publications différentes sur ce sujet et avons effectué l’analyse des aspects éthiques, religieux et juridiques pour comprendre les origines des conflits et des collisions. Comme dans la plupart des conflits, la solution se fait par compromis. La présence d’une vaste base technique de la médecine moderne permet des examens post mortem à des fins médicales sans violer l’intégrité du corps du défunt dans un établissement médical. L’utilisation de diverses méthodes disponibles : radiographie (RG), échographie (écho), scanner (scan), imagerie par résonance magnétique (IRM) dans le diagnostic post-mortem de pathologie périnatale nous permet d’observer et d’élargir les intérêts de la médecine dans l’analyse des changements post-mortem et des confessions religieuses dans un effort pour observer les traditions. RE

Infirmière d'ici, infirmière dailleurs...où est la différence ? Infirmière un jour, infirmière toujours... Infirmières des villes, infirmières des champs... A Paris, Sao Polo, Chicago, Bruxelles, Londres, Bamako ou Montréal, sur les 5 continents, à l'hôpital, en dispensaire, à domicile,... Infirmière du matin, du soir, ou de nuit... Travaillant à temps plein, à temps partiel, en service de médecin, de chirurgie, ou de gériatrie, postée en réanimation, au bloc opératoire ou en maternité... Infirmière généraliste, spécialisée, référente ou clinicienne... partout dans le monde, être infirmière se décline à l'infini et se conjugue au pluriel.