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Documents  VANDYK Amanda | enregistrements trouvés : 2

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- n° 133 - pp. 45-57


L’évaluation quotidienne du risque de violence a été définie comme étant une intervention efficace pour la gestion de la violence dans les services de santé mentale.
But de la recherche : évaluer l’utilisation d’un outil d’évaluation du risque de violence par le personnel soignant dans une unité de santé mentale ainsi que les facilitateurs et des obstacles à l’utilisation de ce dernier.
Méthodes : une étude descriptive s’inspirant de l’approche de Dillman et guidée par le modèle de transfert des connaissances à la pratique a été réalisée.
Résultats : vingt-six professionnels de santé ont répondu au questionnaire ; 62 % ont affirmé qu’ils avaient déjà utilisé l’outil d’évaluation disponible dans leur unité, mais non de façon quotidienne. Des obstacles liés au manque de connaissances de l’outil, au manque de ressources et de temps, ainsi qu’aux attitudes négatives envers les patients ont été décelés. Quarante-deux pour cent des participants ont exprimé le désir d’avoir une formation sur l’évaluation du risque de violence.
Conclusion : malgré la forte exposition à la violence, les professionnels de la santé n’effectuaient pas l’évaluation quotidienne de risque. L’identification des barrières et des facilitateurs assure une direction pour les interventions nécessaires pour accroître l’utilisation quotidienne des outils d’évaluation des risques. (R.E.)

L’évaluation quotidienne du risque de violence a été définie comme étant une intervention efficace pour la gestion de la violence dans les services de santé mentale.
But de la recherche : évaluer l’utilisation d’un outil d’évaluation du risque de violence par le personnel soignant dans une unité de santé mentale ainsi que les facilitateurs et des obstacles à l’utilisation de ce dernier.
Méthodes : une étude descriptive s’inspirant de l’approche ...

Violence ; Santé mentale ; Evaluation ; Infirmier ; Recherche

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- n° 150 - pp. 79-88

Introduction : la langue et la communication sont essentielles à la sécurité des soins et à la gestion des personnes aux prises avec un trouble de santé mentale, en particulier lorsque ces personnes sont des minorités linguistiques.
Objectifs/méthode : explorer ces réalités au sein d'une population en situation minoritaire linguistique en complément d'une revue de la littérature et des entrevues qualitatives. Les entrevues ont été menées à Ottawa, au Canada, auprès de patients francophones. Les études incluses dans la revue représentaient la littérature internationale sur les minorités linguistiques en général.
Résultats : dans l'ensemble, les expériences décrites dans les articles publiés étaient semblables aux expériences vécues des participants, ce qui suggère que des obstacles aux soins existent, même dans les contextes ayant pour mandat de fournir des services dans les deux langues officielles.
Discussion/conclusion : il y a de nombreux obstacles à la prestation de services de soins de santé mentale, et ce, quelle que soit la langue dominante. Toutefois, nous avons identifié comme distinct le sentiment intériorisé de responsabilité ressenti par les patients en situation minoritaire qui se sentent obligés de compenser ou de combler les lacunes linguistiques des prestataires.
Introduction : la langue et la communication sont essentielles à la sécurité des soins et à la gestion des personnes aux prises avec un trouble de santé mentale, en particulier lorsque ces personnes sont des minorités linguistiques.
Objectifs/méthode : explorer ces réalités au sein d'une population en situation minoritaire linguistique en complément d'une revue de la littérature et des entrevues qualitatives. Les entrevues ont été menées à ...

SOINS PSYCHIATRIQUES ; Canada

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