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- n° 138 - 18-28
Introduction et contexte : les personnes en situation de déficience intellectuelle présentent des comportements difficiles, appelés également comportements problèmes ou comportements défis.
Objectif : l’objectif de cette étude a été de réaliser un état des connaissances en sciences infirmières sur les comportements défis chez les personnes déficientes intellectuelles.
Méthode : il s’agit d’une revue systématique de littérature à partir des mots clés comportements défis, déficience intellectuelle, infirmi*, comportement problème traduits en anglais sur les sites PubMed et Web of science sur la période 2008-2018.
Résultats : les comportements défis chez les personnes déficientes intellectuelles sont très fréquents et peuvent donner lieu à des abus de prescriptions de psychotropes. Ils sont également éprouvants pour les personnels. Des solutions en termes de formation des personnels existent ainsi que l’aide au repérage de diagnostics associés qui peuvent parfois être responsables de comportements défis. Aucune publication en français n’a été retrouvée.
Conclusion : l’implication dans la recherche, des infirmières qui exercent auprès des personnes déficientes intellectuelles devrait être favorisée afin qu’elles puissent participer à l’élaboration des connaissances sur les comportements défis, améliorer la qualité de leur prise en soin et développer davantage leur collaboration au sein de l’équipe pluridisciplinaire dans le but de favoriser les bonnes pratiques en matière de gestion des comportements défis et notamment celles favorisant une démarche de dé-prescription des psychotropes.(R.A.)
Introduction et contexte : les personnes en situation de déficience intellectuelle présentent des comportements difficiles, appelés également comportements problèmes ou comportements défis.
Objectif : l’objectif de cette étude a été de réaliser un état des connaissances en sciences infirmières sur les comportements défis chez les personnes déficientes intellectuelles.
Méthode : il s’agit d’une revue systématique de littérature à partir des mots ...
Soins infirmiers ; Déficience moyenne ; Revue systématique
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- n° 145 - pp. 122-131
Introduction : les troubles psychotiques débutent généralement entre l’adolescence et le début de la vie adulte. Dans leur phase prodromique, les premiers symptômes sont dits atténués. Il est essentiel de les repérer et d’initier un suivi le plus précocement possible pour limiter la sévérité des symptômes. Il reste néanmoins une incertitude sur leur évolution. L’objectif de cette étude exploratoire a été de montrer les difficultés qui entourent la construction de l’alliance thérapeutique dans ce contexte.
Méthodologie : la méthode retenue a été celle de l’enquête de terrain.
Résultats : l’incertitude sur l’évolution des troubles et leur aggravation, et le fait que ces derniers sont évalués par une appréciation des fléchissements fonctionnels amènent les professionnels à développer un relationnel basé sur un savoir acquis empiriquement et qui s’inscrit dans une approche phénoménologique. Ainsi, les professionnels mobilisent des techniques de communication dynamiques et interactives pour essayer de développer une alliance thérapeutique.
Conclusion : il a été montré que l’alliance thérapeutique avec les jeunes présentant une incertitude d’évolution vers une psychose cherchait à être construite sur une logique phénoménologique, personnalisée et pragmatique. (RE)
Introduction : les troubles psychotiques débutent généralement entre l’adolescence et le début de la vie adulte. Dans leur phase prodromique, les premiers symptômes sont dits atténués. Il est essentiel de les repérer et d’initier un suivi le plus précocement possible pour limiter la sévérité des symptômes. Il reste néanmoins une incertitude sur leur évolution. L’objectif de cette étude exploratoire a été de montrer les difficultés qui entourent ...
Psychose ; Alliance thérapeutique ; Adolescent ; Jeune adulte ; Psychiatrie ; Enquête qualitative
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- n° 147 - pp. 55-66
Introduction : l’espérance de vie chez les patients en psychiatrie est réduite de 15 à 20 ans, du fait de comorbidités et de leur mode de vie. Le syndrome métabolique, aussi effet secondaire des antipsychotiques, est un facteur aggravant de ce phénomène, c’est pourquoi la promotion de la santé est indispensable. L’objectif de l’étude est de décrire les connaissances, attitudes et pratiques infirmières en psychiatrie vis-à-vis du syndrome métabolique, avec pour cadre de référence le modèle de promotion de la santé de N. Pender.
Méthodologie : une étude descriptive multicentrique à partir d’une enquête « connaissance attitude pratique » a été menée dans 16 services psychiatriques d’Ile-de-France. Soixante-dix infirmières ont été interrogées via des questionnaires en ligne.
Résultats : les résultats montrent des connaissances partielles. Un écart existe entre les attitudes et les pratiques infirmières. Leurs actions relèvent principalement du conseil. Le type de savoirs infirmiers est abordé, ainsi que la nécessité d’une réflexion sur la relation infirmière-patient. Les interventions infirmières méritent d’être approfondies afin de mieux prendre en charge le syndrome métabolique.
Conclusion : des actions de formation sont nécessaires pour mener de manière plus efficace des actions de prévention et de promotion de la santé. [R.E.]
Introduction : l’espérance de vie chez les patients en psychiatrie est réduite de 15 à 20 ans, du fait de comorbidités et de leur mode de vie. Le syndrome métabolique, aussi effet secondaire des antipsychotiques, est un facteur aggravant de ce phénomène, c’est pourquoi la promotion de la santé est indispensable. L’objectif de l’étude est de décrire les connaissances, attitudes et pratiques infirmières en psychiatrie vis-à-vis du syndrome ...
Recherche ; Santé mentale ; Psychiatrie ; Promotion santé ; PRATIQUE AVANCEE INFIRMIERE
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