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Documents  DOREZ D. | enregistrements trouvés : 3

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- n° Vol.13 n°3 - pp. 134-142

Le don d’organes après détermination circulatoire du décès – DDAC – connaît un nouveau développement avec le protocole Maastricht 3 – DDACM3 –, autorisé depuis décembre 2014 en France. Les principes des limitations et arrêts des traitements sont bien posés mais doivent encore gagner dans la formalisation et donner lieu à une préoccupation de qualité et d’humanité autour de la fin de vie. Après arrêt des traitements invasifs de réanimation, après la certification du décès et si telle est la volonté du patient le décès peut conduire à un don d’organes et de tissus, dans certaines conditions. Les DDACM3 offrent une opportunité d’augmenter le nombre de greffons disponibles et représentent un des axes d’amélioration de l’accès à la transplantation. Le suivi psychologique des proches ne montrent aucune interrogation éthique d’éventuel conflit d’intérêt entre décision d’arrêt des traitements et opportunité d’inscrire le don d’organes dans les soins de fin de vie. Les premiers résultats, très préliminaires, sont encourageants en termes de qualité des greffons et très rassurants pour le ressenti des proches et des équipes. RE
Le don d’organes après détermination circulatoire du décès – DDAC – connaît un nouveau développement avec le protocole Maastricht 3 – DDACM3 –, autorisé depuis décembre 2014 en France. Les principes des limitations et arrêts des traitements sont bien posés mais doivent encore gagner dans la formalisation et donner lieu à une préoccupation de qualité et d’humanité autour de la fin de vie. Après arrêt des traitements invasifs de réanimation, après ...

Don organe ; Décès

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- n° 808 - pp. 36-39

Les arrêts de traitements en réanimation conduisent au décès par arrêt circulatoire. Il existe alors une opportunité de procéder à un prélèvement d’organes, si telle est la volonté du patient. Cela suscite des interrogations éthiques légitimes. Un protocole national définit les conditions de ce don et permet de garantir une harmonisation des pratiques ainsi que l’amélioration globale de l’accompagnement de fin de vie en réanimation. Ces donneurs offrent une opportunité d’augmenter le nombre de greffons disponibles.
Les arrêts de traitements en réanimation conduisent au décès par arrêt circulatoire. Il existe alors une opportunité de procéder à un prélèvement d’organes, si telle est la volonté du patient. Cela suscite des interrogations éthiques légitimes. Un protocole national définit les conditions de ce don et permet de garantir une harmonisation des pratiques ainsi que l’amélioration globale de l’accompagnement de fin de vie en réanimation. Ces donneurs ...

Don organe ; Réanimation

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- n° 234 - 11-13

Environ un quart des patients de réanimation décèdent. Dans certaines situations, les médecins doivent se prononcer sur l’utilité de la poursuite des traitements. Un dialogue avec la famille s’amorce afin de recueillir les éléments nécessaires pour statuer. La plupart des cas nécessitent une décision collégiale qui aboutira à la mise en œuvre d’une sédation profonde et continue, maintenue jusqu’au décès du patient. (RE)

sédation ; Réanimation ; Famille ; ACCOMPAGNEMENT AU MOURANT ; DIRECTIVES ANTICIPEES

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