Documents  équipe pluriprofessionnelle | enregistrements trouvés : 8

Les 24 premières heures de prise en charge post-traitement de l'attaque cérébrale dans une unité neurovasculaire sont déterminantes. Les soins combinés de l'infirmier, de l'aide-soignant et des rééducateurs garantissent la sécurité du patient, la prévention des complications et de la récidive. Ils permettent de débuter une rééducation rapidement. La prise en charge pluriprofessionnelle est centrée sur le patient et ses besoins spécifiques, autour de valeurs partagées par les membres de l'équipe. (RE)

Née en 1945 aux États-Unis, l’activité d’hospitalisation à domicile (HAD) n’a cessé de se développer en France après les années 1950.
Sa reconnaissance par les instances réglementaires et les tutelles n’intervient cependant qu’en 1970.
L’HAD permet aux patients atteints de pathologies graves aiguës ou chroniques de continuer à bénéficier à domicile sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, de soins techniques et complexes, fréquents et coordonnés, inaccessibles aux soins de ville.
Elle constitue un enjeu de politique sanitaire central de la prise en charge des patients. (R.E.)

Plan :
- La situation de l’hospitalisation à domicile en France
- Le déroulement d’une hospitalisation à domicile
- Le cadre de santé, pierre angulaire de la coordination

En raison des complications fonctionnelles, psychologiques et sociales qu’elles engendrent, les plaies du pied diabétique sont un véritable enjeu de santé publique. Pourtant, une prise en charge par une équipe spécialisée dans les 48 heures permettrait d’éviter plus de la moitié des amputations(1). Ces plaies représentent un coût important pour le système de santé français, de l’ordre de 660 millions d’euros par an, sans inclure celui généré par les soins ambulatoires(2). Sans compter qu’elles sont difficiles à prendre en charge du fait de la lenteur de la cicatrisation, des infections secondaires et du risque non négligeable d’amputation. (RE)

Le nouveau métier d’infirmière spécialisée dans la sclérose en plaques (SEP) s’exerce dans les centres de ressources et de compétences SEP et les structures dédiées à la coordination des parcours de soins spécifiques de ces patients.Intégrée à une équipe pluriprofessionnelle spécialisée, l’infirmière doit maîtriser de larges connaissances sur la maladie et les traitements, mais aussi disposer de compétences en éducation thérapeutique, en communication et en coordination.Possédant une compréhension fine des ressources et de l’organisation de l’offre de soins, elle participe à l’évaluation du parcours global du patient pour la mise en œuvre d’un plan de soins personnalisé et d’un plan d’accompagnement qui associe réponses aux besoins médicaux, paramédicaux, psychologiques et sociaux. (R.E.)