Documents  FONTENAY Franck | enregistrements trouvés : 8

Depuis près de 2 ans, Mylène Bonnaire exerce en tant qu'IPA au sein de 2 services du CHU de Rouen. Elle se sent pleinement intégrée dans les équipes et a le sentiment que son intervention permet de fluidifier les parcours de soins des patients et de renforcer la cohésion des soignants, médicaux comme paramédicaux. Elle se dit ainsi ­parfaitement satisfaite de ce nouveau rôle, du fait de sa diversité et sa richesse. Retour sur son parcours et ses missions actuelles. (RE)

Le moins que l'on puisse dire, c'est que le parcours d'Aurélie Broussois est atypique. Elle a d'abord été commerciale dans la vente à domicile, avant de devenir auxiliaire de vie, puis aide-­soignante, infirmière, et enfin IPA au sein du service de neuro-oncologie du CHRU de Nancy. Elle qui reconnaît s'ennuyer rapidement se dit aujourd'hui comblée par l'intérêt de sa pratique actuelle, qu'elle définit comme “une autre façon de faire du soin”. (RE)

Il est possible de devenir IPA en formation initiale, c'est-à-dire immédiatement après l'obtention du diplôme d'infirmier. Ce cas de figure concerne actuellement une minorité d'étudiants. Pour autant, ceux-ci sont confrontés à l'obligation de pratiquer pendant 3 ans comme infirmiers en soins généraux avant de pouvoir exercer en tant qu'IPA. Une obligation qui interroge sur la nécessité ou non d'une expérience infirmière préalable pour pouvoir exercer la pratique avancée. Camille Lorenzo*, infirmier diplômé en pratique avancée, et Thibaut Kubiak**, IPA en ­activité, au parcours différent, confrontent leur point de vue. (RE)

Elles travaillent toutes deux depuis plus de 10 ans dans le service d’oncologie médicale de l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière à Paris, un service auquel elles se disent très attachées. L’une, Johanna Wassermann, est oncologue, l’autre, Johanna Bitton, est IPA. Ensemble, elles constituent ce qu’elles considèrent être un véritable binôme assurant conjointement la prise en charge et le suivi de patientes atteintes d’un cancer du sein. Leur collaboration, qui repose sur une grande confiance réciproque, témoigne des multiples intérêts d’associer médecin et IPA dans le cadre d’un parcours de soins. (RE)