Gouvernance partagée : deux têtes valent-elles mieux qu'une ?
La gouvernance partagée d’une organisation est-elle une force ou une faiblesse ? La direction par un seul apparaît comme un gage de cohérence et de stabilité, tandis qu’une autorité bicéphale peut entraîner des désaccords bloquant les décisions. Mais l’évolution vers des directions en binôme peut aussi produire un management plus horizontal et collaboratif, s’appuyant sur les vertus du dissensus. Des discussions auxquelles donnent lieu des positions antagonistes naissent parfois les innovations, si le dialogue est encadré par une éthique de la discussion. (RE)
Niveau d'autorisation : Public
Adresse de consultation : https://www.em-premium.com/article/1453209
Numéro de revue : 35-37