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Documents  Etudiant hospitalier | enregistrements trouvés : 3

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- n° 382 - pp. 40-41

En Suisse, un programme pousse les étudiants en soins infirmiers et en médecine à travailler de concert. Au fin fond de la Chine ou de l'Inde, plusieurs semaines durant, ils mènent ensemble un projet de recherche. Une expérience originale.

Suisse ; Recherche ; Etudiant soins infirmiers ; Etudiant hospitalier

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- n° 131 - pp. 41-51

L’approche de la génération Y (étudiants nés entre 1981 et 1999) face à la formation en cursus paramédical invite à s’interroger d’une part sur les attentes des étudiants de génération Y, et d’autre part sur les méthodes pédagogiques à adopter avec cette génération. La recherche relatée dans cet article a été menée auprès d’étudiants en troisième année d’ergothérapie. Cent douze étudiants ont été interrogés en septembre 2012 et 2013 concernant leurs attentes vis-à-vis des cours, et vis-à-vis des méthodes pédagogiques proposées. Les résultats ont permis de mettre en lumière d’une part, l’importance de la notion d’utilité du cours telle que perçue par les étudiants et d’autre part, la focalisation des attentes des étudiants sur des compétences dites « non académiques » de l’enseignant. Si le lien entre compétences non académiques et réussite a été mis à jour dans différentes recherches, peu de travaux s’intéressent au développement de ces compétences non académiques par les enseignants de façon à répondre aux attentes des étudiants en formation supérieure. C’est l’objet de cet article, dont le principal intérêt pourrait être d’envisager des pistes relatives aux méthodes pédagogiques à développer auprès de cette population d’étudiants. (R.E.)
L’approche de la génération Y (étudiants nés entre 1981 et 1999) face à la formation en cursus paramédical invite à s’interroger d’une part sur les attentes des étudiants de génération Y, et d’autre part sur les méthodes pédagogiques à adopter avec cette génération. La recherche relatée dans cet article a été menée auprès d’étudiants en troisième année d’ergothérapie. Cent douze étudiants ont été interrogés en septembre 2012 et 2013 concernant ...

Ecole paramédicale ; Pédagogie centrée apprenant ; Etudiant hospitalier ; Méthode pédagogique ; Génération ; Formateur

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- n° 4 - pp. 250-258

La première année commune aux études de santé (PACES) est sanctionnée par un concours qui permet aux élèves de s’orienter vers les différentes filières de santé (médecine, odontologie, maïeutique, etc.). Hélas, beaucoup d’étudiants, pourtant méritants, n’ont aucun accès à une formation de santé en fin de PACES. Le concours s’inscrit dans une politique d’égalité des chances : tous les étudiants peuvent s’inscrire en PACES ; chacun a les mêmes conditions d’étude. Pourtant, les étudiants « présentant » un handicap peuvent bénéficier d’aménagements du concours, comme la mise à disposition d’un matériel optique ou d’un temps supplémentaire. Ces aménagements sont proposés par une commission réunissant les médecins du service de santé universitaire (SSU) et des médecins de la faculté de médecine. Quel sens ces aménagements ont-ils pour ces médecins ? S’agit-il d’une inégalité des chances ou d’une justice sociale réparatrice de handicap ? Est-il éthique, vis-à-vis des futurs patients, de laisser des étudiants présentant des déficits cognitifs, sensoriels ou moteurs devenir soignants ? À partir de notre expérience, nous proposons ici de mieux comprendre le sens de cette politique de santé, comme une mesure pour éviter d’induire un handicap pour des étudiants ayant un déficit fonctionnel. Nous explorerons en quoi les médecins de cette commission pourraient se sentir responsables par rapport aux futurs soins et, à partir de là, montrerons que l’insertion professionnelle de soignants handicapés pourrait, en réalité, être une opportunité de co-construire de nouveaux rapports aux soignés et aux métiers de soignants.
La première année commune aux études de santé (PACES) est sanctionnée par un concours qui permet aux élèves de s’orienter vers les différentes filières de santé (médecine, odontologie, maïeutique, etc.). Hélas, beaucoup d’étudiants, pourtant méritants, n’ont aucun accès à une formation de santé en fin de PACES. Le concours s’inscrit dans une politique d’égalité des chances : tous les étudiants peuvent s’inscrire en PACES ; chacun a les mêmes ...

Première année commune aux études de santé (PACES) ; Etudiant hospitalier

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