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Améliorer la qualité de vie au travail (QVT) est un enjeu majeur pour les établissements sanitaires afin de contribuer au bien-être de leurs salariés, renforcer leur attractivité et garantir la qualité des soins. L’Agence nationale d’appui à la performance des établissements de santé et médico-sociaux propose trois regards croisés qui illustrent des voies complémentaires pour améliorer la QVT : intégrer la responsabilité sociétale des entreprises dans le projet d’établissement ; travailler sur la gestion des temps médicaux et non médicaux ; et mettre en place un projet de synchronisation des temps médicaux et non médicaux. (R.E.)

Certaines fonctions professionnelles, notamment dans le secteur tertiaire, mobilisent physiquement peu les salariés. Pour améliorer la santé de ces derniers, plusieurs espaces ou périodes pourraient être investis pour augmenter le temps quotidien d'activité physique. Les transports actifs pour se rendre et rentrer du travail constituent à ce titre une initiative tout à fait opportune mais l'activité physique peut également s'entrevoir en dehors et pendant le temps de travail. Le but de cet article est d'apporter des éléments de compréhension et des perspectives de recherche pour mieux mesurer l'importance de l'activité physique en milieu professionnel.

23 % des couples ont aujourd’hui des journées de travail fortement désynchronisées. Les incidences sur la vie de famille amènent le sociologue Laurent Lesnard à parler de familles désarticulées.

Ysa T. travaille à temps partiel dans le nettoyage. Ses horaires de travail sont décalés le matin (6 h 30 - 9 h 30) et il lui faut compter un total de trois heures de transport. La journée de travail de son mari, lui aussi dans le nettoyage, est quant à elle décalée en soirée (14 h - 22 h). Au quotidien, Ysa et son mari ne font que se croiser, leur famille est désarticulée. Comme la famille d’Ysa T, des millions de familles françaises combinent aujourd’hui deux emplois (70 % des couples en 2002) et vivent un quotidien tributaire de la concordance des emplois du temps des deux conjoints. La sociabilité familiale est alors en jeu, au risque, comme c’est le cas pour la famille d’Ysa, d’une complète désarticulation. Quelles proportions donner à ce phénomène ?

1, Santé au travail [:] 1/2 Le pouvoir des organisations
2, Organisation du travail et nouveaux risques pour la santé des salariés
3, Plan santé au travail 2005-2009 faire reculer les risques et encourager une véritable culture de prévention
4, Souffrance au travail, le risque organisationnel
5, Gestion institutionnelle de la violence envers les personnels en psychiatrie
6, L'accès au pouvoir dans une organisation, une question de santé
7, Attractivité, "rétention", implication des infirmières et qualité des soins
8, Quand des soignants participent à l'organisation des soins et du travail
9, Pour un environnement psychosocial optimaldu travail des gestionnaires infirmiers
10, Organismes institutionnels et associations
11, Une serie de "tactiques" pour retenir le personnel infirmier au travail

Les futurs cadres de santé en position de faisant fonction ou de suppléant ressentent pour la plupart le besoin d’un soutien et d’un accompagnement complémentaire adapté aux besoins de chacun. Une expérience d’accompagnement de ces derniers, sorte de compagnonnage, a été initiée au CHU de Montpellier. Sans se substituer à l’encadrement hiérarchique de ces futurs cadres, le groupe de travail référent ainsi constitué les soutient et les aide à appréhender au mieux tous les aspects de leur future fonction.

1, Pour une mise en lumière
2, Donner du sens aux pratiques, un travail invisible des cadres de santé
3, Le travail émotionnel des soignants, la face cachée du soin
4, Cadre de santé, un travail de lien invisible
5, Cadre de santé,une fonction possible dans un collectif de pairs
6, Penser le sens de son action, une activité essentielle pour le cadre de santé
7, Le travail invisible des directeurs de soins
8, Invisibilité du travail psychique des formateurs : à qui sert le cadre dans un dispositif de formation ?
9, Analyser sa pratique, entre "caché" et "visible"
10, Le travail invisible du cadre, locution dissonante et paradoxale, ou passe-muraille des couloirs aux coulisses ?
11, L'écriture comme "révélateur" de l'invisible dans le soin
12, Un travail invisible... mais indispensable !

Les SIPPS, ou soins infirmiers individualisés à la personne soignée, pemettent de justifiers la consommation de ressources et d"tablir le profil d'unités homogènes.
Mesurer, ana lyser, décider deviennent les maîtres-mots des utilisateurs des SIPPS pour affiner le contrôle qualité.
L'indicateur SIIPS devient un outil d'aide à la décision .
Au CHU de Nancy, cette méthode a été appliquée. Histoire de la mise en place d'un véritable outil de management.