Documents  Mémoire | enregistrements trouvés : 48

avant-propos
L’apaisement des patients, une belle récompense
page 17
Isabelle Garnaud, Jérôme Malfaisan



stratégie soignante
Contexte épidémiologique et formes de prise en charge de la maladie d’Alzheimer
pages 18-19
Sandrine Andrieu, Alain Grand



témoignage
Vécu familial de l’annonce d’un diagnostic de maladie d’Alzheimer
pages 20-23
Sophie Auriacombe



réflexion
Aller à la rencontre de cet autre, dément mais avant tout humain
pages 24-25
May Antoun



pratique soignante
Intérêt de la philosophie de l’humanitude dans la prise en charge de la maladie d’Alzheimer
pages 26-27
Yves Gineste, Rosette Marescotti



stratégie soignante
Accompagner un malade Alzheimer “jeune” en Ehpad
pages 28-30
Florence Lebert, Florence Bieder, Sophie Turcq



stratégie soignante
Unités cognitivo-comportementales, de nouveaux lieux de soins
pages 31-32
Agnès Maillard



exercice professionnel
Des assistants de soins en gérontologie
page 33
Dominique Terrasson



stratégie soignante
Voix d’Or, un outil audio pour raviver les souvenirs
pages 34-35
Lina Braunschweig



association
Une aide bénévole pour les aidants de patients souffrant de maladie d’Alzheimer
pages 36-37
Michèle Marquant



réseau
Le réseau régional de la mémoire Méotis
pages 38-39
Karine Fraysse



recherche
Mieux comprendre la maladie d’Alzheimer
pages 40-41
Jean-Charles Lambert



Éléments de bibliographie
page 42
Liliane Régent

SOMMAIRE
- Où se situe la mémoire ?
- A quand remontent nos premiers souvenirs ?
- Jusqu'où la famille nous conditionne-t-elle ?
- D'où vient la sensation de déjà-vu ?
- Huit questions sur la mémoire
- A quoi sert d'oublier ?
- Les principaux troubles de la mémoire
- Le passé pour seul horizon ?
- Et demain ? Vers une mémoire augmentée ?

RESUME
Puissante, elle fait surgir d'une simple odeur un continent de souvenirs. Fragile, elle joue des tours, ment, s'effrite parfois et nous abîme alors. La mémoire est notre faculté la plus précieuse. Sans elle, pas d'apprentissage, pas d'imaginaire, pas d'identité. Sans mémoire, nous ne sommes plus rien. Comment agit-elle ? Où se situe-t-elle ? Pourquoi sommes-nous inégaux face à elle ? D'où vient l'impression de déjà-vu ? De trou noir ? Pourquoi la perd-on ? Sur toutes ces questions, la recherche a considérablement progressé. Motivés par les politiques de lutte contre Alzheimer, des milliers de chercheurs sont partis explorer la jungle de nos neurones, une combinatoire complexe où l'on commence à se repérer.
Une science de la mémoire est en train de voir le jour, passionnante. Elle fournit déjà les clés pour mieux comprendre nos mémoires -car nous en avons plusieurs-, leurs lignes de failles, leurs béquilles possibles et leurs progrès potentiels. Ce dossier fait le point sur ces nouveaux savoir. Mais il ne s'en contente pas. Car si la mémoire façonne notre identité, elle n'a pas le pouvoir de tracer notre avenir. C'est là que les sciences humaines ont leur mot à dire, aux côtés des neurosciences : elles nous invitent à réfléchir à la juste place à accorder au passé, à ses trop-pleins et à ses trous, dans nos vies personnelles comme à l'échelle collective.

Le cauchemar post-traumatique (CPT) constitue une réviviscence de scènes au cours du sommeil liée à l'état de stress post-traumatique. Contrairement à toute autre forme de rêve, il peut survenir à n'importe quel stade du sommeil, de manière effractive, et confronte la personne à son scénario traumatique, pouvant la plonger dans un état d'effroi et de sidération. le CPT participe ainsi à l'entretien et à la réactivation de la mémoire traumatique. Cependant, des techniques de narration peuvent procurer une nette amélioration, voire leur disparition.(RE)

La mémoire est un phénomène complexe, que les élèves sollicitent particulièrement au cours de leurs apprentissages. La mémorisation des informations dépend de chaque personne. Certains facteurs influent négativement sur la mémoire, au premier rang desquels le déficit en sommeil ou le stress, très fréquents chez les élèves. Repérer les troubles de la mémoire chez les jeunes et en identifier les causes, permettrait de proposer des solutions à ces élèves en risque d’échec. RE