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Documents  Personne confiance | enregistrements trouvés : 10

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- n° 378 - pp. 60-61

Encore méconnue sur le terrain, la personne de confiance occupe un rôle important auprès du patient, conscient ou non. Et bénéficie, sur demande, d'un congé dédié à sa mission et d'une allocation. R.E.

Personne confiance ; Relation de confiance

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- n° Vol.14 n°1 - pp. 49-56

Les personnes malades ont besoin d’accompagnement au cours de leurs maladies, à la fois sur le plan psychologique et pour l’aide aux démarches de soins. En France, le législateur a mis en place la personne de confiance (PC) dont le rôle est d’accompagner le malade au cours de ses démarches et de ses soins, ainsi que de représenter sa volonté dans le dialogue avec les équipes soignantes le cas échéant. Comme la PC est en contact rapproché avec les soins, elle peut être soumise à un stress particulier, d’autant plus important qu’elle peut être amenée à considérer son rôle comme déterminant pour les décisions médicales ; certaines études montrent ainsi des prévalences supérieures de troubles réactionnels, comme le trouble de stress post-traumatique, chez la PC par rapport aux autres personnes. À partir de ce constat, nous nous interrogeons sur les enjeux éthiques pour la désignation de la personne de confiance. Cette personne doit en effet être proche du patient (famille, amis, médecins traitant) et suffisamment solide psychologiquement pour accompagner la maladie. Comment désigner une personne PC sans la soumettre à un risque trop important pour la santé ? Comment traverser la tension éthique entre les principes de bienfaisance pour le patient et de non-malfaisance pour la PC ? Nous explorons les différentes possibilités offertes par la loi sur la désignation et nous proposons une manière équitable de désignation de la PC à partir de la notion d’accompagnement de celle-ci par le corps médical. RE
Les personnes malades ont besoin d’accompagnement au cours de leurs maladies, à la fois sur le plan psychologique et pour l’aide aux démarches de soins. En France, le législateur a mis en place la personne de confiance (PC) dont le rôle est d’accompagner le malade au cours de ses démarches et de ses soins, ainsi que de représenter sa volonté dans le dialogue avec les équipes soignantes le cas échéant. Comme la PC est en contact rapproché avec ...

Personne confiance ; Ethique ; Stress ; Psychologie ; Difficulté scolaire

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- n° 231 - pp. 49-50

De la consécration légale du concept de personne de confiance, en 2002, pour le secteur sanitaire, à la reconnaissance de cet interlocuteur unique dans le secteur médico-social, en 2016, plusieurs évolutions législatives ont accru les missions de celle ou celui qui devient un partenaire dans la relation patient-équipe de soins.

Personne confiance

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- n° 76 - pp. 22-23

Le refus de soins doit être pris en considération. Il peut s’exprimer autour de la toilette. Il faut bien informer le patient et la personne de confiance sur le bien-fondé du soin. En équipe, une réflexion constructive doit être menée quant aux besoins supposés de la personne et ce qu’il convient de faire. (RE)

Refus soins ; Personne âgée ; Hygiène corporelle ; Personne confiance ; Patient ; Club prévention ; soin d'hygiène et de confort ; Aide soignant ; Ethique

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- n° 233 - pp. 49-50

En complément de la fiche présentant le concept de personne de confiance, cette présente fiche décline précisement les missions de celle-ci, envisagées différement selon le cadre de la prise en charge (en établissement de santé, au sein d’un secteur médico-social), mais également selon l’état de santé de la personne. (RE)

Personne confiance ; Droit administratif ; Responsabilité

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- n° 392 - pp 42-44

La loi du 2 février 2016 dite de Claeys-Leonetti créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie renforce la loi Leonetti de 2005. Elle crée le droit à la sédation profonde et continue. Trois points développés ci-après visent à améliorer les conditions du "mourir en France".

Traitement douleur ; Soins palliatifs ; Droit travail ; Personne confiance ; Refus soins ; Directive anticipée ; Nutrition ; hydratation ; Souffrance

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- n° Vol.16 n°4 - 183-190

La personne de confiance accompagne le patient et l’aide dans les décisions jusqu’en fin de vie. Les directives anticipées peuvent être confiées à la personne de confiance. Ce dispositif est peu connu des patients et des médecins généralistes et est sous utilisé. Deux axes ont été étudiés : les représentations qu’ont les médecins généralistes de la personne de confiance. L’expérience vécue des patients dans la désignation de la personne de confiance. L’objectif était de comprendre et comparer ces expériences. Ce travail a été mené suivant une méthode qualitative avec recueil de données par entretiens semi-dirigés de patients et de médecins généralistes, jusqu’à saturation des données. Les entretiens ont été analysés dans une démarche sémio-pragmatique phénoménologique. Douze médecins et 13 patients ont été interrogés. Ils s’accordaient sur l’intérêt de la personne de confiance dans le contexte de la fin de vie, sur le manque d’anticipation en ambulatoire et la banalisation en EHPAD. Les rôles de la personne de confiance étaient bien définis : aidant, interlocuteur, écoute, décisions en cas d’incapacité du patient. La charge d’être désigné impliquait un engagement. Un lien de proximité était nécessaire mais pas suffisant (la confiance était redéfinie en contexte particulier, psychique et autour des convictions personnelles.) Désigner le médecin comme personne de confiance se faisait par défaut. Les médecins exprimaient leur manque de connaissance et certains freins à aborder la fin de vie. La personne de confiance est un lien fondamental entre les médecins généralistes et le patient tout au long du parcours médical et concernant la fin de vie. Sa désignation doit être anticipée. La personne de confiance doit également être accompagnée dans son rôle. RE
La personne de confiance accompagne le patient et l’aide dans les décisions jusqu’en fin de vie. Les directives anticipées peuvent être confiées à la personne de confiance. Ce dispositif est peu connu des patients et des médecins généralistes et est sous utilisé. Deux axes ont été étudiés : les représentations qu’ont les médecins généralistes de la personne de confiance. L’expérience vécue des patients dans la désignation de la personne de ...

Directive anticipée ; Personne confiance ; Soutien ; Médecin généraliste ; fin de vie

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- n° 271 - pp. 10-11

La loi permet à toute personne hospitalisée de désigner une personne de confiance, pour l'accompagner dans son parcours et exprimer sa volonté lorsqu'elle n'est pas en état de le faire. Comment procéder en psychiatrie ? (RE)

Personne confiance ; Droit ; Psychiatrie

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- n° 277 - 68-71

Les personnes qui vivent avec des troubles bipolaires expérimentent des fluctuations extrêmes de leur humeur, dans lesquelles leurs capacités décisionnelles peuvent être altérées. La succession de crises plus ou moins graves leur permet d'identifier ce qui est utile et ce qui doit être évité, et cette connaissance est cle des plans de crise. De plus, comparativement à d'autres troubles psychiques, les personnes bipolaires ont rétablissement post-crise souvent plus rapide qui favorise l'élaboration. (re)
Les personnes qui vivent avec des troubles bipolaires expérimentent des fluctuations extrêmes de leur humeur, dans lesquelles leurs capacités décisionnelles peuvent être altérées. La succession de crises plus ou moins graves leur permet d'identifier ce qui est utile et ce qui doit être évité, et cette connaissance est cle des plans de crise. De plus, comparativement à d'autres troubles psychiques, les personnes bipolaires ont rétablissement ...

Autonomie ; Directive anticipée ; Droit du patient ; Personne confiance ; Trouble bipolaire

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- n° Vol.14 n°1 - pp. 19-56

Comment parler au patient, comment expliquer la maladie quand l’effroi de l’annonce de la maladie rend difficile toute réelle discussion ? Comment entendre les demandes du patient quand celles-ci semblent ne pas prendre en compte la réalité médicale ?
Parler de la maladie à une personne est difficile. Parler de sa maladie et de sa mort bien plus encore ? Le soignant doit être d’une grande écoute pour que le dialogue puisse se construire. Chacun doit apporter son désir de rencontre. La relation soignant–soigné n’est pas un simple contrat, comme certains voudraient le faire croire. C’est d’abord une relation entre deux personnes avec chacune son histoire : le soignant avec son expérience des maladies et l’information qu’il a pour obligation de délivrer (claire, loyale et adaptée) et le patient avec son histoire personnelle, parfois de maladies autres déjà traversées, avec cette maladie chronique déjà subie, mais aussi avec son histoire familiale, sociale, professionnelle et ses capacités rationnelles cognitives, qui lui permettent de comprendre, plus ou moins bien, de quoi il retourne.
Les malentendus, les incompréhensions, les mécanismes de transfert et de contre-transfert sont quotidiens, même si heureusement la relation en confiance permet que chacun avance à son rythme tout en étant respecté. RE
Comment parler au patient, comment expliquer la maladie quand l’effroi de l’annonce de la maladie rend difficile toute réelle discussion ? Comment entendre les demandes du patient quand celles-ci semblent ne pas prendre en compte la réalité médicale ?
Parler de la maladie à une personne est difficile. Parler de sa maladie et de sa mort bien plus encore ? Le soignant doit être d’une grande écoute pour que le dialogue puisse se construire. Chacun ...

Information du patient ; Personne confiance ; Ethique ; Consultation ; Annonce maladie ; Angoisse séparation ; Droit du patient ; Droit travail

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