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Documents  Euthanasie | enregistrements trouvés : 25

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- n° 159 - pp.32-34.

La Sfap se positionne par rapport au droit au suicide assisté proposé par certains députés en octobre dernier.

Euthanasie ; Droit ; Ethique ; Déontologie médicale

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- n° 217 - pp. 80-84

En établissement de soins ou d’hébergement pour personnes âgées, les soignants sont souvent confrontés à une impasse : comment accompagner une personne âgée qui veut mourir ? Cet article présente les enjeux éthiques dans le contexte légal de la Suisse, qui autorise en particulier le suicide assisté. (RE)

Accompagnement ; Ecoute ; Ethique ; Euthanasie ; fin de vie ; Cas clinique

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- n° HS n° 19. - pp. 5-20.

- Ô ! Vieillesse ennemie !


- Entretien avec Sophie Moulias : La dépression des personnes âgées


- La maladie d'Alzheimer : un mythe ?


- Accompagner les malades d'Alzheimer


- Vieillir heureux


- Euthanasie : où en sont les débats ?

Vieillissement ; Démence sénile ; Démence Alzheimer ; Euthanasie

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- n° 173 - pp. 37-38

La question de la légalisation de l'euthanasie est très sensible. Ellen n'en finat pas de faire débat. En France, le sujet a été relancé de nouveau ces derniers mois par une proposition de loi qui, au final, fut rejetée au Sénat le 25 janvier 2011. Dans le prolongement d'un article récemment consacré à ce sujet dans "la revue de l'infirmière", Bernard Devalois poursuit la réflexion et l'enrichit de son regard de médecin spécialiste des soins palliatifs.
La question de la légalisation de l'euthanasie est très sensible. Ellen n'en finat pas de faire débat. En France, le sujet a été relancé de nouveau ces derniers mois par une proposition de loi qui, au final, fut rejetée au Sénat le 25 janvier 2011. Dans le prolongement d'un article récemment consacré à ce sujet dans "la revue de l'infirmière", Bernard Devalois poursuit la réflexion et l'enrichit de son regard de médecin spécialiste des soins ...

Euthanasie ; Pratique soins ; Soins palliatifs

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- n° 758 - pp. 34-37

Le grand public et les professionnels de santé peuvent avoir une représenation erronée des soins palliatifs et de la loi Leonetti. Grâce à la formation et à l'information sur les mesures prises par le gouvernement concernant le développement des soins palliatifs, la culture palliative s'intègre progressivement dans les structures et les mentalités de santé.

Euthanasie ; Formation ; Soins palliatifs

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- n° 211 - pp. 12-16

Au cours des vingt dernières années, nombre de missions et de rapports sur la fin de vie et l'euthanasie ont été demandés dans notre pays. Le gouvernement a engagé un processus en ce sens : le rapport du docteur Sicard est attendu fin décembre. Alors, réformer la loi, pourquoi pas ?

Droit ; Euthanasie ; UE 4.7 (soins palliatifs et de fin de vie)

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- n° Vol.13 N°1 - pp. 42-45

« Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre », écrivait Victor Hugo1 . L’euthanasie est un sujet politique, médical et social récurrent, sur lequel tout un chacun ancre une conviction. Souvent idéologique. Réfléchir sur l’euthanasie nécessite de se questionner concrètement sur la vie. D’après Michel Henry, philosophe phénoménologue qui distingue vie et existence : « Dans le monde, nous voyons des êtres vivants, nous voyons des corps vivants, mais jamais la vie »2 . La vie est donc un phénomène invisible, ce qui ne veut pas dire non réel. Ce phénomène se manifeste dans le monde par nos existences visibles. Peut-on penser une existence sans vie ? Une vie morte ? L’euthanasie, est-ce supprimer une vie « fardeau »… ou raccourcir une existence vivante ? Quel lien avec le fait de regarder se consumer une bougie ou la souffler ? C’est ce à quoi nous nous intéresserons au fil de cet article. RE
« Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre », écrivait Victor Hugo1 . L’euthanasie est un sujet politique, médical et social récurrent, sur lequel tout un chacun ancre une conviction. Souvent idéologique. Réfléchir sur l’euthanasie nécessite de se questionner concrètement sur la vie. D’après Michel Henry, philosophe phénoménologue qui distingue vie et existence : « Dans le monde, nous voyons des êtres vivants, nous voyons des corps ...

Euthanasie ; fin de vie ; Soins palliatifs ; phénoménologie

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- n° 824 - p. 55

Un sondage publié en amont des Etats généraux de la bioéthique, qui ont débuté en janvier dernier, montre qu'en matière de santé, une majorité de nos concitoyens aspire à une mutation législative de grande ampleur : PMA pour toutes, GPA, euthanasie...

procréation médicale assisté ; gestation pour autrui ; Euthanasie ; Bioéthique ; Analyse valeur ; Autonomie ; Patient ; Ethique

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- n° Vol.15 n°4 - pp. 233-237

La question de la « bonne mort » et des moyens pour y parvenir (soins palliatifs, sédation profonde, euthanasie, suicide assisté) nourrit les nombreuses conférences citoyennes organisées en 2018 par les États généraux de la Bioéthique. En filigrane de ces questions, apparaît le paradoxe fondateur de la médecine : demander à un médecin ou à un soignant, dont la mission est de lutter contre la nature pour guérir et prolonger la vie de son malade, d’abréger ou d’aider à abréger la vie au nom d’une « bonne mort ». Dans notre société démocratique sécularisée, le concept de mort bonne véhicule avec lui des images et un imaginaire qui appellent à la méfiance et à la prudence face aux institutions et autorités qui prétendent rendre l’humanité meilleure. Réduire cette discussion à une rhétorique sophistique reviendrait à tuer les débats et in fine à affaiblir la démocratie. RE
La question de la « bonne mort » et des moyens pour y parvenir (soins palliatifs, sédation profonde, euthanasie, suicide assisté) nourrit les nombreuses conférences citoyennes organisées en 2018 par les États généraux de la Bioéthique. En filigrane de ces questions, apparaît le paradoxe fondateur de la médecine : demander à un médecin ou à un soignant, dont la mission est de lutter contre la nature pour guérir et prolonger la vie de son malade, ...

Euthanasie ; fin de vie ; Ethique ; Académie nationale de médecine

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- n° Vol.16 n°3 - 125-132

Depuis décembre 2015, l’aide médicale à mourir, une pratique au centre de nombreux débats éthiques, est légalisée dans la province du Québec, au Canada. Ce nouveau type de décès a créé un tout nouveau contexte pour le don d’organes, soit le don d’organes après l’aide médicale à mourir. Le prélèvement des organes s’effectue alors suivant le protocole habituel du don d’organes après décès cardiocirculatoire contrôlé (catégorie Maastricht III), un protocole qui suscitait déjà de nombreux questionnements médico-éthiques. En outre, l’amalgame des deux pratiques soulève de nouveaux enjeux éthiques qui peuvent se traduire par des objections de conscience chez les médecins directement impliqués dans l’aide médicale à mourir et/ou le don d’organes. Or, une telle objection de conscience peut-elle être acceptable ? Nous tenterons de répondre à cette question en trois temps : d’abord, par un bref historique de l’objection de conscience ; ensuite, par une revue des débats actuels sur ce sujet ; enfin, par l’examen, à l’aide de critères recensés dans la littérature, de cas où les médecins refuseraient de participer au don d’organes après l’aide médicale à mourir. RE
Depuis décembre 2015, l’aide médicale à mourir, une pratique au centre de nombreux débats éthiques, est légalisée dans la province du Québec, au Canada. Ce nouveau type de décès a créé un tout nouveau contexte pour le don d’organes, soit le don d’organes après l’aide médicale à mourir. Le prélèvement des organes s’effectue alors suivant le protocole habituel du don d’organes après décès cardiocirculatoire contrôlé (catégorie Maastricht III), un ...

don d'organes ; Mort ; Euthanasie ; Ethique

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- n° Vol.19 n°2 - 76-83

Les différentes possibilités d'aide active à mourir sont des pratiques à l'origine de nombreuses controverses dont l'autorisation génère des situations complexes à appréhender. C'est notamment le cas lorsque la souffrance à l'origine de la requête d'un individu est en lien avec un trouble psychiatrique. De ce fait, dans des pays tels que la Belgique ou les Pays-Bas, où cette pratique est autorisée, de nombreuses incertitudes subsistent quant à la démarche qu'il est approprié d'adopter afin de garantir l'assistance individuelle d'une part et le respect de l'autonomie d'autre part. Effectivement, il est particulièrement complexe d'établir de manière incontestable la recevabilité d'une demande. La sévérité de la souffrance, son caractère insupportable et réfractaire, la réalité de la capacité décisionnelle de la personne ne bénéficient pas d'outils de mesure fiables. De plus, au-delà de la requête de l'individu, c'est également l'implication des soignants et l'intégration de ce type de procédure à la pratique médicale qui interroge. Ces éléments exposent ainsi la nature plurielle des questionnements soulevés par cette possibilité, intéressant à la fois le sens de la souffrance mais aussi celui du soin. Cet article discute de l'admissibilité, d'un point de vue éthique, du recours à l'aide active à mourir dans l'accompagnement d'un individu affecté par un trouble psychiatrique sévère, marquée par un désir de mort et réfractaire aux traitements bien conduits, qui en exprime le souhait. RE
Les différentes possibilités d'aide active à mourir sont des pratiques à l'origine de nombreuses controverses dont l'autorisation génère des situations complexes à appréhender. C'est notamment le cas lorsque la souffrance à l'origine de la requête d'un individu est en lien avec un trouble psychiatrique. De ce fait, dans des pays tels que la Belgique ou les Pays-Bas, où cette pratique est autorisée, de nombreuses incertitudes subsistent quant à ...

Ethique ; Psychiatrie ; Etat dépressif ; Euthanasie

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- n° Vol. 20 n°1 - 15-22

Notre société, mue par une recherche individuelle extensive, désireuse de renouvellement et d'avancées ainsi que d'autonomie dans tous les domaines, se trouve aujourd'hui devant une nouvelle voie ouverte : celle d'accorder à ses membres, sous réserves de certaines conditions, le droit à une « aide active à mourir ». Si ce droit leur était ouvert, il s'agirait d'une innovation sociétale radicale. Radicale au point que, selon le vocabulaire de la sociologie, nous pourrions la nommer « innovation de rupture ». En effet, au-delà de son point d'impact proprement dit, elle réagencerait sans doute l'ensemble de nos rapports aux règles fondatrices et aux valeurs de la société dans laquelle nous vivons. Celles régissant le droit de demander et obtenir la mort. Pour aborder ce questionnement, et tenter de nous positionner nous-même, un recensement des concepts engagés par une telle réflexion s'avère donc indispensable. RE
Notre société, mue par une recherche individuelle extensive, désireuse de renouvellement et d'avancées ainsi que d'autonomie dans tous les domaines, se trouve aujourd'hui devant une nouvelle voie ouverte : celle d'accorder à ses membres, sous réserves de certaines conditions, le droit à une « aide active à mourir ». Si ce droit leur était ouvert, il s'agirait d'une innovation sociétale radicale. Radicale au point que, selon le vocabulaire de la ...

Droit ; Accompagnement mourant ; fin de vie ; Euthanasie ; Soins palliatifs

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- n° 289 - pp. 16-19

Le droit à une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès a été instauré par la loi dite loi Claeys-Leonetti. Il ne s'agit plus d'une sédation réversible, mais de maintenir le patient dans un sommeil profond, sans réveils, jusqu'au décès. Elle peut être mise en soins dans des cas précis. La frontière entre euthanasie et cette sédation mise en œuvre en fin de vie réside dans l'intentionnalité de l'acte médical.

Traitement douleur ; Soins palliatifs ; Euthanasie ; Souffrance morale ; Fin vie

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- n° 31 - p. 8

Treize organisations représentant 800 000 soignants ont publié, le 16 février, un avis « éthique et pratique » sur les conséquences d'une potentielle légalisation autour de la mort administrée. Questionnant une telle évolution de la législation, elles dénoncent cette pratique qui « ne relève pas du soin ». (RE)

Soignant ; fin de vie ; Euthanasie ; Légalisation ; SOIN

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- n° Vol.20 N°3 - 193-213

La mort médicalement assistée est un sujet clivant qui impliquerait les médecins généralistes (MG). Les opinions des MG et du grand public sur ce sujet peuvent être divergentes. L'objectif était de comparer la façon dont la presse médicale lue par les MG et la presse grand public traitent le sujet de l'euthanasie
et du suicide assisté, en France, depuis 2016. RE

Euthanasie ; Ethique ; Littérature ; Médecin généraliste

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- n° 49 - p. 28-29.
Cote : rev11

L'expression "mourir dans la dignité" est souvent associée en france à la légalisation de l'euthanasie. Même si ce concept d'euthanasie est fortement décrié par certaines associations, l'opinion publique française est à 86% en faveur d'une aide à mourir. pourtant d'autres aspects notamment au sujet de la qualité de l'accompagnement que l'on offre aux mourants.

Mort ; Soins palliatifs ; Euthanasie

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le droit de mourir ? PONTE Carène | Soins 01/03/2004

Article

- n° 683 - pp. 28-29
Cote : rev14

Depuis quelques années, la question de l'euthanasie revient régulièrement sur le devant de la scène. La mort de Vincent Humbert et la mise en examen du docteur frédéric Chaussoy nous amènent de nouveau à réfléchir sur de sujet difficile de la fin de vie. Si certains réclament ardemment une loi mettant un terme à une hypocrisie ambiante, la plus acceptable pour tous. En la matière, il ne peut y avoir de position tranchée, et c'est bien là toute la difficulté.
Depuis quelques années, la question de l'euthanasie revient régulièrement sur le devant de la scène. La mort de Vincent Humbert et la mise en examen du docteur frédéric Chaussoy nous amènent de nouveau à réfléchir sur de sujet difficile de la fin de vie. Si certains réclament ardemment une loi mettant un terme à une hypocrisie ambiante, la plus acceptable pour tous. En la matière, il ne peut y avoir de position tranchée, et c'est bien là toute ...

Euthanasie ; Mort ; Droit

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- n° 229 - p. 15.
Cote : rev6

Légale mais très encadrée, cette pratique cède du terrain aux soins palliatifs en fin de vie.

Euthanasie ; Ethique ; Déontologie ; Sociologie ; Société

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- n° 230 - pp. 30-32.
Cote : rev6

Il y a cinq ans, la Belgique légalisait l'euthanasie. La loi encadre les pratiques et soulage certains soignants, mais la question reste hautement sensible.

Ethique ; Déontologie ; Euthanasie

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- n° 7/2009 - pp. 41-43.
Cote : rev6

Ethique ; Déontologie ; Droits personne ; Euthanasie ; Suisse

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