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Documents  don d'organes | enregistrements trouvés : 14

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- n° 831 - pp. 16-19

La démarche anticipée de don d’organe vise à augmenter l’accès à la greffe en France. Elle concerne des patients neurolésés dans un état grave, pour lesquels il n’existe pas de ressource thérapeutique, mais qui pourraient faire l’objet d’un prélèvement d’organe si leur état devait évoluer vers la mort encéphalique. Cette démarche demande une préparation minutieuse, la vérification des conditions requises et un accompagnement attentif des proches. (RE)
La démarche anticipée de don d’organe vise à augmenter l’accès à la greffe en France. Elle concerne des patients neurolésés dans un état grave, pour lesquels il n’existe pas de ressource thérapeutique, mais qui pourraient faire l’objet d’un prélèvement d’organe si leur état devait évoluer vers la mort encéphalique. Cette démarche demande une préparation minutieuse, la vérification des conditions requises et un accompagnement attentif des ...

don d'organes

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- n° 84 - pp. 28-29

Le don d'organe est strictement encadré. S'il s'agit d'un donneur vivant, il doit être fait la preuve d'un lien de proximité avec le receveur, exception faite du don d'organe croisé. Toute personne décédée est un donneur potentiel ; seul un refus explicite peut être opposé. La constatation réglementée du décès est un préalable au prélèvement post mortem. (RE)

Consentement ; don d'organes ; Refus soins ; Réglementation

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- n° Vol.15 n°3 - 135-141

La «pénurie» d’organes globale actuelle incite à œuvrer pour diminuer le nombre de refus de prélèvement, qui fait obstacle au don d’organes de plus de 33 % des personnes décédées en mort encéphalique en France. Or, alors que la collecte des organes est régie par le principe de non-opposition, les données publiées par l’ABM démontrent que les 2/3 des refus sont l’expression de la volonté des proches. Ce travail étudie les représentations des coordonnateurs de prélèvement en Île-de-France, afin de tenter de comprendre les raisons pour lesquelles ils considèrent ces décisions comme légitimes, en désaccord avec la loi de bioéthique. Les 24 professionnels participant (17 infirmiers et 7 médecins) aux entretiens décrivent des pratiques homogènes globalement conformes aux recommandations de l’ABM. Alors que tous connaissent les termes de la loi et déclarent y adhérer, ils se sentent au cœur d’une ambivalence. Soignants avant tout, ils doivent aux proches endeuillés l’ouverture d’un espace de dialogue propice à un juste accompagnement, tandis qu’au regard de la loi, ils devraient privilégier l’information et le recueil de témoignage. Le dialogue instauré mobilise un agir communicationnel dont l’enjeu devient implicitement la décision partagée du don, l’empathie prenant souvent le pas sur la rationalité de la norme. Les coordinateurs sont donc à l’interface de la loi et de la singularité des familles en deuil et sont soumis à de nombreux dilemmes éthiques. L’accompagnement des proches étant la première préoccupation des coordinateurs, cela peut contribuer à expliquer le pouvoir décisionnel qui leur est accordé. RE
La «pénurie» d’organes globale actuelle incite à œuvrer pour diminuer le nombre de refus de prélèvement, qui fait obstacle au don d’organes de plus de 33 % des personnes décédées en mort encéphalique en France. Or, alors que la collecte des organes est régie par le principe de non-opposition, les données publiées par l’ABM démontrent que les 2/3 des refus sont l’expression de la volonté des proches. Ce travail étudie les représentations des ...

don d'organes ; Prise de décision ; Accompagnement familial ; Etude prospective ; Profession santé ; Refus soins ; Bioéthique

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- n° Vol.15 n°3 - 142-151

En matière de don d’organes au Québec, le droit prévoit que la volonté anticipée d’une personne à donner ses organes post-mortem devrait être respectée au moment de son décès sauf motif impérieux. Il appert toutefois qu’en pratique, les équipes médicales impliquées demandent invariablement une autorisation aux proches du donneur potentiel avant de débuter le processus de don d’organes. Certains y voient un problème d’effectivité du droit, une déconnexion entre des prescriptions légales axées sur le respect de l’autonomie individuelle et la réalité clinique observée au cœur d’une situation tragique. Nous développerons la thèse que le problème perçu d’effectuation, s’il en est un, peut valablement être résolu par le droit. Plus précisément, notre hypothèse est à l’effet que l’article 43 CcQ et l’approche clinique flexible qui s’est développée en contexte critique ne sont pas en porte-à-faux, mais peuvent continuer à coexister de façon cohérente et harmonieuse dans leur forme actuelle. Pour en faire la démonstration, nous réfléchirons à la méthode d’interprétation juridique qui serait la plus adéquate pour donner à l’article 43 CcQ le sens, la flexibilité et la profondeur requis en contexte de don d’organes. Cette réflexion nous mènera à proposer d’appliquer à l’article 43 CcQ une méthode d’interprétation pragmatique contextuelle. Cette approche permet de dépasser le seul contexte juridique d’énonciation de la disposition afin de lui donner un sens représentatif de la complexité des enjeux qu’elle vise à encadrer tout en permettant l’optimisation des valeurs en conflits dans un contexte factuel, axiologique et juridique unique. RE
En matière de don d’organes au Québec, le droit prévoit que la volonté anticipée d’une personne à donner ses organes post-mortem devrait être respectée au moment de son décès sauf motif impérieux. Il appert toutefois qu’en pratique, les équipes médicales impliquées demandent invariablement une autorisation aux proches du donneur potentiel avant de débuter le processus de don d’organes. Certains y voient un problème d’effectivité du droit, une ...

don d'organes ; Volonté ; Prise de décision ; Interprétation ; Famille ; Consentement ; Refus soins

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- n° 53 - pp. 64-65

Tout ne serait-il qu’argent, profit, rentabilité et financiarisation ? L’organisation de la transplantation d’organes montre le contraire : aujourd’hui encore, nos sociétés savent inventer des mécanismes d’échange qui échappent aux lois du marché. (R.E.)

La transplantation d’organes est un des grands succès thérapeutiques du 20e siècle. En 2015, 126 000 transplantations ont été réalisées dans le monde selon la Transplant Newsletter. En France, l’Agence de la biomédecine fait état de 5 891 greffes effectuées en 2016. Ce monde de la transplantation a fait l’objet d’enquêtes sociologiques, cherchant à comprendre comment se comportent les patients, les médecins, les chirurgiens face aux modalités d’obtention de la ressource médicale (le plus souvent provenant d’un donneur décédé), face à la détresse de patients qui attendent un organe salvateur. Il s’agit, en effet, de faire le meilleur usage possible de greffons dont la durée d’usage est très courte : quelques heures pour les organes thoraciques, jusqu’à 48 heures pour les reins. Pour sa part, la sociologie économique, peut nous aider à mieux comprendre le don d’organes en s’intéressant à la circulation de cette ressource humaine (l'organe) et à son mode d'attribution : dans le fond, a-t-on vraiment affaire à un don ? [extrait]
Tout ne serait-il qu’argent, profit, rentabilité et financiarisation ? L’organisation de la transplantation d’organes montre le contraire : aujourd’hui encore, nos sociétés savent inventer des mécanismes d’échange qui échappent aux lois du marché. (R.E.)

La transplantation d’organes est un des grands succès thérapeutiques du 20e siècle. En 2015, 126 000 transplantations ont été réalisées dans le monde selon la Transplant Newsletter. En France, ...

don d'organes ; Centre transplantation ; AELE ; Economie

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- n° 402 - pp. 38-41

La greffe de rein est un traitement de choix de l’IRC en stade terminal. Sa mise en œuvre suppose, côté donneur comme receveur, de réaliser un certain nombre d’examens médicaux, mais elle est aujourd’hui de plus en plus largement proposée. (RE)

Greffe ; Traitement ; Rein ; Insuffisance rénale ; Néphrologie ; don d'organes

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- n° 402 - pp. 42-45

Lors d’un appel de greffe, plusieurs receveurs potentiels sont contactés dans toute la France selon un ordre établi par l’Agence de la biomédecine. Après la greffe, le patient retenu bénéficiera d’une surveillance accrue et de traitements spécifiques. (RE)

Greffe ; Rein ; don d'organes ; situation clinique ; éducation thérapeutique du patient

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- n° 833 - pp. 54-59

La décision médicale d’un prélèvement d’organes est un acte que la loi tend à réduire et à soumettre à une simple logique juridique. La complexité et l’extrême sensibilité des principes, valeurs et sentiments humains en jeu ne s’accommodent pas de cette simplification. Le processus décisionnel fait intervenir plusieurs parties et respecte la temporalité des familles. (RE)

Consentement ; don d'organes ; Coordination ; Décision médicale ; Loi ; Famille

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- n° Vol.16 n°3 - 125-132

Depuis décembre 2015, l’aide médicale à mourir, une pratique au centre de nombreux débats éthiques, est légalisée dans la province du Québec, au Canada. Ce nouveau type de décès a créé un tout nouveau contexte pour le don d’organes, soit le don d’organes après l’aide médicale à mourir. Le prélèvement des organes s’effectue alors suivant le protocole habituel du don d’organes après décès cardiocirculatoire contrôlé (catégorie Maastricht III), un protocole qui suscitait déjà de nombreux questionnements médico-éthiques. En outre, l’amalgame des deux pratiques soulève de nouveaux enjeux éthiques qui peuvent se traduire par des objections de conscience chez les médecins directement impliqués dans l’aide médicale à mourir et/ou le don d’organes. Or, une telle objection de conscience peut-elle être acceptable ? Nous tenterons de répondre à cette question en trois temps : d’abord, par un bref historique de l’objection de conscience ; ensuite, par une revue des débats actuels sur ce sujet ; enfin, par l’examen, à l’aide de critères recensés dans la littérature, de cas où les médecins refuseraient de participer au don d’organes après l’aide médicale à mourir. RE
Depuis décembre 2015, l’aide médicale à mourir, une pratique au centre de nombreux débats éthiques, est légalisée dans la province du Québec, au Canada. Ce nouveau type de décès a créé un tout nouveau contexte pour le don d’organes, soit le don d’organes après l’aide médicale à mourir. Le prélèvement des organes s’effectue alors suivant le protocole habituel du don d’organes après décès cardiocirculatoire contrôlé (catégorie Maastricht III), un ...

don d'organes ; Mort ; Euthanasie ; Ethique

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- n° 1 - pp. 3-8

Dans le cadre d’un projet de greffe rénale à partir d’un donneur vivant, le patient est susceptible d’éprouver un sentiment de dette complexe envers ses proches, dont, particulièrement, la personne qui propose de donner un rein. Les impacts sur l’autonomie de la personne soignée, sur sa liberté de disposer de son corps, peuvent s’avérer à la fois néfastes et bénéfiques. Une réflexion paraît donc essentielle pour déterminer les différents paramètres de la dette et envisager des pistes éventuelles favorisant ses aspects positifs et limitant ses conséquences délétères. (RE)
Dans le cadre d’un projet de greffe rénale à partir d’un donneur vivant, le patient est susceptible d’éprouver un sentiment de dette complexe envers ses proches, dont, particulièrement, la personne qui propose de donner un rein. Les impacts sur l’autonomie de la personne soignée, sur sa liberté de disposer de son corps, peuvent s’avérer à la fois néfastes et bénéfiques. Une réflexion paraît donc essentielle pour déterminer les différents ...

Greffe ; Autonomie ; don d'organes

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- n° 1 - pp. 9-16

Le don du corps à la science, acte généreux, engage la responsabilité juridique, morale et sociale des laboratoires d’anatomie qui reçoivent les dépouilles pour des travaux à visée pédagogique et de recherche scientifique. L’utilité sociale des recherches et la formation des médecins constituent une contrepartie au don. La dette contractée auprès du donneur peut ainsi être effacée si les préjudices moraux potentiellement subis par la famille sont également pris en compte. L’utilisation des dépouilles léguées fait apparaître des conflits entre les valeurs morales, d’autant plus prégnants que le statut de ces dépouilles humaines reste problématique tant d’un point de vue anthropologique que juridique. Cette pratique soulève aussi des enjeux philosophiques et éthiques. Le droit patrimonial considère ces corps comme des choses, cependant le droit positif consacre le principe de la dignité de la personne humaine et de l’inviolabilité de son corps, y compris après la mort. Il est nécessaire de renforcer les règles de droit protégeant la dignité et l’autonomie des donneurs afin d’assurer la continuité des travaux sur les corps légués. Il est également souhaitable d’apporter des améliorations dans les procédures de don afin de mieux respecter les réalités anthropologiques concernant la mort et ses rituels et de limiter les atteintes aux principes éthiques. (RE)
Le don du corps à la science, acte généreux, engage la responsabilité juridique, morale et sociale des laboratoires d’anatomie qui reçoivent les dépouilles pour des travaux à visée pédagogique et de recherche scientifique. L’utilité sociale des recherches et la formation des médecins constituent une contrepartie au don. La dette contractée auprès du donneur peut ainsi être effacée si les préjudices moraux potentiellement subis par la famille ...

don d'organes ; Science ; Corps ; Ethique ; RITUEL ; Formation ; Recherche

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- n° 7 - pp. 40-42

La spiritualité soulève nombre de questions dans le champ du soin : au-delà de la religion, elle interroge les valeurs, les croyances, le sens de la vie. Des notions avec lesquelles les soignants doivent composer dans le respect de la laïcité. (RE)

SOIN ; SPIRITUALITE ; Croyance ; Religion ; Laïcité ; Soignant ; don d'organes ; Patient ; Formation ; Mort

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- n° 108 - pp. 31-32

L’Agence de biomédecine est un établissement public à caractère administratif. Elle encadre les domaines du don et greffes, de la procréation, de l’embryologie et de la génétique humaines. Cette institution, neutre, suit les évolutions scientifiques et participe aux réflexions éthiques sur ces sujets. Elle joue un rôle important dans l’information du grand public. (RE)

biomédecine ; INSTITUTION ; Ethique ; mission ; Greffe ; don d'organes ; Génétique

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- n° Vol.15 n°3 - 133-183

Le numéro de la revue traite des enjeux bioéthiques qui ne manquent pas. La révision de la loi bioéthique en France, instituée dans le texte même de la loi, permet de s’interroger à nouveau face aux nouvelles techniques apparues au fil des années. (Extrait édiatorial)

Bioéthique ; Loi ; Evolution ; don d'organes ; IVG ; Nouvelles Technologies

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