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Les adolescents aiment dessiner.

Le dessin est un objet de crèc)ativitèc) fondamental dans le processus de rèc)-èc)laboration et de changement propre à cette pèc)riode.

Pourtant, les approches thèc)oriques considèrent souvent que ltm)èc)volution des stades du dessin stm)arrête à ltm)adolescence.

Il est important de prendre en compte ltm)intèc)rêt pratico-clinique du dessin et le dèc)veloppement dtm)activitèc)s dtm)expression à proposer à cette population.
R.E.

Résumé
Une petite fille trop timide, un enfant qui fait des cauchemars, un qui tape, un autre qui bute sur les mots...Réflexe : on cherche des réponses -et parfois des excuses- du côté des psys. En quelques décennies, la psychologie de l'enfant s'est infiltrée partout. Elle a ses stars et ses grandes notions, parfois galvaudées à force d'avoir circulé : le complexe d'Oedipe (Sigmund Freud), l'objet transitionnel (Donald Winnicott), "l'angoisse du huitième mois" (rené Spitz), la théorie de l'attachementJohn Bowlby), le "complexe du homard" (Françoise Dolto), la résilience (Boris Cyrulnik)...
Pendant ce temps, la recherche foisonne et progresse. Ses découvertes sont moins connues du grand public, mais fondamentales. Le développement des sciences cognitives et de l'imagerie cérébrale est en train de bouleverser nos connaissances sur l'intelligence, les apprentissages, l'imaginaire, le développement de la sociabilité. Cette psychologie ne cherche pas seulement à soigner les plaies des âmes enfantines ou à fournir des modèles éducatifs. Comme la philosophie ou la sociologie, elle s'empare de grandes questions sur l'être humain : qu'est-ce que penser ? Sommes-nous nés pour vivre ensemble ? Comment le langage s'acquiert-il ? Qu'est-ce qu'être "normal" ? Pourquoi aimons-nous les histoires ? Comment l'autorité fonctionne-t-elle ?
Pour ce dossier, nous avons choisi de partir de ces questions simples et fondatrices. Les spécialistes que nous avons sollicités se sont pliés au difficile exercice d'expliquer en deux pages, le plus clairement possible, de quelles réponses l'on dispose à ce jour. Ils s'adressent à ceux qui vivent ou travaillent auprès d'enfants, mais pas seulement. "L'enfant est le père de l'homme", affirmait le poète anglais William Wordsworth. Ces savoirs nous concernent tous, car ils plongent dans notre berceau.

Sommaire
- Ce qui vivent les foetus
- De si savants bébés
- La conquête de la raison
- Les théories du développement intellectuel
- Pourquoi les enfants jouent-ils ?
- Comment le langage s'acquiert
- Qu'est-ce qui rend l'enfant sociable ?
- Comment les maths viennent à l'esprit
- Jolies princesses et petits machos
- Jeux sexuels, jeux de vilains ?
- Les principaux troubles mentaux chez les enfants
- Faut-il médicaliser la tristesse ?
- Alors, heureux ?
- Comment se faire obéir ?
- Pourquoi les enfants aiment les histoires

La prise en charge de la douleur en pédiatrie s’appuie sur des moyens antalgiques médicamenteux de différentes natures. Cependant, le soulagement de l’enfant repose également sur un environnement relationnel de qualité, la collaboration avec les parents et différentes techniques non médicamenteuses, notamment la distraction. Cette technique doit être adaptée à l’âge des enfants et nécessite des supports variés, laissant place à la créativité des soignants.

Parler avec les enfants des images qu’ils voient est d’autant plus important que les pouvoirs de confusion de celles-ci sont considérables. La première étape consiste à leur donner la parole pour savoir ce qu’ils ont vu et compris. La seconde consiste à leur donner des repères géographiques, temporels et conceptuels qui leur permettent de se construire une représentation plus exacte des événements. Enfin, il est essentiel de mettre l’accent sur l’entraide et la solidarité, et de favoriser la capacité d’empathie des enfants, notamment par des activités théâtrales qui leur permettent de se mettre alternativement à toutes les places d’une situation de violence. R.E.

Les addictions comportementales concernent les conduites génératrices de plaisir (achats, jeux de hasard et d’argent, sexe…). Le jeu pathologique (dépendance aux jeux de hasard et d’argent) est l’addiction comportementale la plus fréquente chez les sujets âgés.
Les dommages sont sévères : psychologiques, avec risque suicidaire, financiers, familiaux…
Le jeu pathologique est sous-estimé chez les sujets âgés.
L’accompagnement psycho-socio-familial est important quel que soit l’âge, avec comme objectif de soins une amélioration de la qualité de vie et une reprise du contrôle des comportements de jeu ou l’arrêt. (R.E.)

Conçu par le Cclin Sud-Ouest et l'ARLIN Limousin, ce serious game à destination des étudiants infirmiers et des infirmiers permet au joueur d'aborder le virus de la grippe en milieu hospitalier. Différents aspects pédagogiques sont abordés : La vaccination, le diagnostic clinique, les modalités de réalisations et d'interprétation du test de diagnostic rapide (TDR), les mesures à mettre en place pour contrer la grippe, la communication lors du transfert d'un patient grippé. (R.E.)

Une étude a interrogé l'efficacité et les modalités du jeu dans la prise en charge de la maladie d'Alzheimer. Une intervention fondée sur le principe du cadre ludique, prenant en compte le choix des objets, l'aménagement de l'espace et le rôle du professionnel, pourrait se présenter comme une médiation thérapeutique adaptée à cette pathologie. Cette étude démontre que le cadre ludique permet une diminution des troubles du comportement des résidents atteints de la maladie d'Alzheimer, et renforce leur bien-être et leur qualité de vie.